"...
L'exemple hongrois
En Hongrie, le gouvernement de Victor Orban a modifié le Code pénal qui prévoit désormais jusqu'à cinq ans de prison ceux qui se rendraient coupables de diffusion de "fausses informations" au sujet du coronavirus.
"La pandémie a été en fait un prétexte pour renforcer une mainmise sur la société civile et pour réduire encore un peu plus la possibilité de s'exprimer, de critiquer, d'être dans la dissidence et ce au cœur même de l'Europe", Cécile Coudriou, présidente d'Amnesty International France. "L'État de droit a été menacé et les libertés fondamentales réduites comme on l’a vu en Hongrie..." Source : franceinter.fr
mercredi 7 avril 2021
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