"Les électeurs voient dans le premier ministre un rempart contre les dangers extérieurs et l’immigration.
Marie Csernyi presse le pas sur le
parvis de l’immense temple calviniste de Debrecen. C’est ici que Lajos
Kossuth, héros du roman national, a proclamé la déchéance des Habsbourg
et l’indépendance de la Hongrie, le 14 avril 1849. Le personnage est
sacré pour les patriotes ; Viktor Orban, le premier ministre en campagne
pour obtenir un troisième mandat d’affilée, se présente comme son
héritier.
Trente-cinq ans durant, cette sexagénaire a passé la serpillière sur les tomettes foulées par les ouailles protestantes. Elle votera bien sûr pour le chef du gouvernement, si décrié à l’étranger, aux législatives du 8 avril. « Pour qui d’autre ? Regardez donc autour de vous ! Tout a changé en mieux chez nous grâce au parti Fidesz. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)
Trente-cinq ans durant, cette sexagénaire a passé la serpillière sur les tomettes foulées par les ouailles protestantes. Elle votera bien sûr pour le chef du gouvernement, si décrié à l’étranger, aux législatives du 8 avril. « Pour qui d’autre ? Regardez donc autour de vous ! Tout a changé en mieux chez nous grâce au parti Fidesz. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)
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