mardi 20 mars 2018
« Ce qui menace la démocratie en Hongrie, ce n’est pas le Jobbik : c’est Viktor Orbán »
"Alors que le Fidesz de Viktor Orbán connaît depuis quatre ans une nette
dérive vers l'extrême-droite, le Jobbik clame à qui veut l’entendre
qu’il n’est plus un parti extrémiste et qu'il est prêt à s'allier avec
les centristes. Loin des déclarations antisémites et de la garde
hongroise qui l'ont fait connaître dans toute l'Europe, le Jobbik
nouveau se fait l'avocat des institutions démocratiques et "n’accepte
pas que le Fidesz maintienne la population dans un climat de peine et de
haine". Entretien exclusif avec le numéro deux du parti, Márton
Gyöngyösi . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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