Citant
le maître du Kremlin comme un modèle, le dirigeant hongrois, inspiré
par l'oligarchie en vigueur à Moscou, devrait remporter son troisième
mandat consécutif contre une opposition faible et divisée.
E
n
huit ans de pouvoir autoritaire, Viktor Orbán s'est trouvé une quantité
indéfinissable d'ennemis. Mais qu'il cible Bruxelles, le financier
américano-magyar George Soros ou l'ONU, accusés pêle-mêle de vouloir
installer en Hongrie des milliers de migrants contre la volonté des
Magyars, le courroux de Budapest fait toujours mouche dans l'opinion… Si
bien qu'il devrait conquérir sans trop de peine un troisième mandat,
lors des législatives du 8 avril. La « démocrature » du dirigeant «
illibéral » semble, aujourd'hui, aussi indéboulonnable que le poutinisme
en Russie. Au point que l'unique possibilité de changement serait une
alliance contre-nature des partis progressistes de gauche avec l'ancien
mouton noir d'extrême droite Jobbik, en voie de dédiabolisation." La suite sur
marianne.net (article payant)
Analyse juste... La situation est inextricable, la majorité est silencieuse, V.O. jubile...
RépondreSupprimerAlors tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles... pour ceux qui gouvernent.
SupprimerEn quelque sorte, Jean-Pierre...
SupprimerIl faut que tout change pour que rien ne change
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