"Le régime d’Orban est accusé de violations des droits de l’homme,
non-respect de l’Etat de droit, restriction des libertés et xénophobie.
Il y a urgence, en Hongrie, à s’occuper de la violation des droits
humains et du non-respect de l’Etat de droit, qui concerne tant la
restriction des libertés pour la société civile, que l’indépendance de
la justice, l’égalité hommes femme que le sort des réfugiés : c’est un
rapport de 37 pages, sans concession, assorti de 167 recommandations,
que Dunja Mijatovic, commissaire aux droits de l’homme du Conseil de
l’Europe, a rendu public mardi 21 mai.
La responsable
bosnienne s’est rendue à Budapest en février, alertée notamment par le
discours récurrent des autorités sur les réfugiés et les migrants. Mme Mijatovic, en poste depuis avril 2018, les invite d’abord à abandonner leur rhétorique et « leurs campagnes qui attisent les comportements xénophobes ».
D’autant, indique-t-elle, que l’on ne peut plus parler d’une situation
de crise, compte tenu du nombre actuel de demandeurs d’asile en Europe,
et singulièrement en Hongrie, où les premières dispositions très
restrictives ont été adoptées en 2015." La suite sur lemonde.fr
mardi 21 mai 2019
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