"Le chef Ivan Ficher a présenté sa version remaniée de l’opéra de
Monteverdi. Sa mise en scène et sa reconstruction de la première version
se révèlent moins inspirées que sa direction musicale.
Il ne manque pas de charme, l’Orfeo d’Ivan Fischer. A défaut
d’une recomposition marquante ou passionnante de la première version de
l’opéra de Monteverdi, la production du chef rend un hommage
révérencieux au compositeur crémonais. Passé deux soirs sur la scène du
Grand Théâtre, la relecture a séduit par la grâce de sa fraîcheur
bucolique. Mais sa référence joliment kitsch à la Grèce ancienne ne
convainc que partiellement.
Le manque d’audace du spectacle tient
probablement au fait que le respect du Hongrois pour le grand Italien ne
date pas d’hier. Au début des années 1960 déjà, le musicien participait
depuis le clavecin à la production mythique de son maître Nikolaus
Harnoncourt mise en scène par Jean-Pierre Ponnelle.
En réunissant toutes les disciplines qu’il pratique autour d’un Orfeo
revisité, Ivan Fischer souhaitait imprimer un mouvement unique au mythe
fondateur. Qu’en retenir? La mise en scène est légère, dionysiaque et
champêtre à souhait, agrémentée de coquets ballets campagnards (Sigrid
T’Hooft). On se laisse d’abord ravir par cet univers naïf et
pittoresque." La suite sur letemps.ch
jeudi 31 octobre 2019
Un protocole pour éviter les dérapages à l’OSM
"La semaine ayant abouti à la non-présentation de la seconde partie du
concert d’András Schiff laissera non seulement des traces dans la
mémoire du pianiste hongrois, qui en ressort « très blessé », mais
également dans le fonctionnement interne de l’Orchestre symphonique de
Montréal (OSM). Les musiciens en appellent désormais à l’élaboration
d’un protocole pour éviter les dérapages, a appris Le Devoir. Une demande accueillie avec ouverture par la direction, qui s’est engagée à rencontrer rapidement les musiciens à cet effet.
Les mélomanes montréalais ont été surpris de ne pas voir András Schiff diriger la seconde partie du concert, mercredi et jeudi dernier, comme il l’avait pourtant fait à Boston quelques jours auparavant. La présence au programme de la Suite de danses de Bartók, oeuvre écrite pour le 50e anniversaire de la réunification de Buda et de Pest, avait pourtant une résonance particulière pour le pianiste hongrois en exil, virulent critique du régime de Viktor Orbán.
Le communiqué annonçant ce changement indiquait que la décision avait été prise « d’un commun accord ». Depuis Toronto, András Schiff conteste fortement cette lecture, déplorant plutôt un « incident majeur » ayant conduit à ce renoncement : « C’est un mensonge, une rectitude politique qui me dérange. » À l’OSM, personne ne nie plus désormais qu’il y a bel et bien eu un « incident ». « La communication entre le chef et les musiciens n’a effectivement pas été facile au cours de cette répétition », dit Pascale Ouimet, directrice des relations avec les médias." La suite sur ledevoir.com
Les mélomanes montréalais ont été surpris de ne pas voir András Schiff diriger la seconde partie du concert, mercredi et jeudi dernier, comme il l’avait pourtant fait à Boston quelques jours auparavant. La présence au programme de la Suite de danses de Bartók, oeuvre écrite pour le 50e anniversaire de la réunification de Buda et de Pest, avait pourtant une résonance particulière pour le pianiste hongrois en exil, virulent critique du régime de Viktor Orbán.
Le communiqué annonçant ce changement indiquait que la décision avait été prise « d’un commun accord ». Depuis Toronto, András Schiff conteste fortement cette lecture, déplorant plutôt un « incident majeur » ayant conduit à ce renoncement : « C’est un mensonge, une rectitude politique qui me dérange. » À l’OSM, personne ne nie plus désormais qu’il y a bel et bien eu un « incident ». « La communication entre le chef et les musiciens n’a effectivement pas été facile au cours de cette répétition », dit Pascale Ouimet, directrice des relations avec les médias." La suite sur ledevoir.com
Le club des 700 – Ferenc Puskas
"Le 14 octobre dernier avec le Portugal, Cristiano Ronaldo inscrivait son 700ème but en carrière. L’occasion pour We Sport de dresser le portrait des cinq joueurs qui devancent encore CR7 au classement des meilleurs buteurs de l’histoire. Aujourd’hui, zoom sur le quatrième : Ferenc Puskas.
1,74m, un goût prononcé pour les spécialités de son pays et quelques kilos en trop qui en découlent. A première vue, Ferenc Puskas a plutôt l’air de l’un de ces joueurs que l’on croise sur un terrain douteux un dimanche matin. Et pourtant, le Hongrois était l’incarnation même de l’élégance et de l’efficacité devant le but." La suite sur wesportfr.com
En 1937, le
père de Ferenc change son patronyme d’origine souabe afin de mieux
s’intégrer dans la société hongroise. La famille Purczeld devient alors
Puskas, qui signifie « fusilier », un nom forcément destiné à répandre
la terreur. Cette terreur, Ferenc Puskas la sèmera sur les terrains de
football, avec 746 cartouches qui ont trouvé leur cible au fond des
filets adverses.
Le Major Galopant 1,74m, un goût prononcé pour les spécialités de son pays et quelques kilos en trop qui en découlent. A première vue, Ferenc Puskas a plutôt l’air de l’un de ces joueurs que l’on croise sur un terrain douteux un dimanche matin. Et pourtant, le Hongrois était l’incarnation même de l’élégance et de l’efficacité devant le but." La suite sur wesportfr.com
"Carte Blanche à Mathias Kiss" aux Gobelins jusqu'au 4 décembre 2019
Carte Blanche de Mathias Kiss à la Chapelle des Gobelins
© David Zagdoun
|
Cet
automne, on aiguise un peu plus notre curiosité en poussant les portes
de la Chapelle des Gobelins, située dans le XIIIème arrondissement. À
l'intérieur de ce sanctuaire du XVIIIème siècle reconverti en lieux
d'expositions, notre regard est directement attiré par cette immense
plaque dorée à la feuille, qui couvre entièrement le sol et reflète la
lumière des somptueux vitraux. Le créateur de cette oeuvre d'exception
n'est autre que l'artiste audacieux et résolument inclassable Mathias Kiss, à qui le Mobilier National a donné carte blanche dans le cadre de l'exposition Créer pour Louis XIV.
Le propos ? Imaginer un dialogue entre la création contemporaine et le
patrimoine prestigieux savamment conservé au regard de prestigieuses
œuvres de mobilier de Charles Le Brun à Mathias Kiss.
Jusqu'au 4 décembre 2019, Chapelle des Gobelins du Mobilier National, 42 avenue des Gobelins 75013 Paris
Source : vogue.fr
Jusqu'au 4 décembre 2019, Chapelle des Gobelins du Mobilier National, 42 avenue des Gobelins 75013 Paris
Source : vogue.fr
La Russie de Vladimir Poutine, un modèle pour le Hongrois Viktor Orban
"Vladimir Poutine et Viktor Orban se rencontrent pour la septième fois depuis que le Premier ministre hongrois est retourné au pouvoir en 2010.Juste après son élection, Viktor Orban avait fait son
premier voyage officiel à Moscou pour rencontrer Vladimir Poutine. Le
chef de l’État russe semble être un modèle pour l’homme fort de la
Hongrie. Aujourd’hui, l’influence russe est de plus en plus forte en
Hongrie. En neuf ans de pouvoir, Viktor Orban a « poutinisé » la Hongrie.
Les signes de cette poutinisation
Le Premier ministre Viktor Orban a fait les mêmes réformes que son modèle russe. Il a fait voter des lois attaquant les ONG, la liberté de la presse, la liberté religieuse ou encore l’indépendance de la Cour constitutionnelle." La suite sur rfi.fr
Les signes de cette poutinisation
Le Premier ministre Viktor Orban a fait les mêmes réformes que son modèle russe. Il a fait voter des lois attaquant les ONG, la liberté de la presse, la liberté religieuse ou encore l’indépendance de la Cour constitutionnelle." La suite sur rfi.fr
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Viktor Orban reçoit Poutine et défend le dialogue Budapest-Moscou
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a défendu mercredi ses
nombreux échanges avec le dirigeant russe Vladimir Poutine, allié de
circonstance qu'il a de nouveau reçu à Budapest pour renforcer la
coopération économique et politique au risque d'irriter les diplomaties
occidentales.
Au pouvoir depuis 2010, Vikor Orban a rencontré le président russe en tête-à-tête une dizaine de fois et l'avait reçu à deux reprises en 2017, provoquant l'indignation de l'opposition hongroise qui dénonce sa complaisance envers un "autocrate".
En 2014, le Premier ministre souverainiste, régulièrement épinglé par ses alliés occidentaux pour ses penchants autoritaires, avait cité la Russie comme modèle, préférant un "Etat non libéral" à une démocratie libérale.
Cette "coopération politique est basée sur un simple fait géographique" qui tient à la place de Budapest au centre d'un "triangle Berlin-Moscou-Istanbul", a justifié Viktor Orban lors d'une conférence de presse aux côtés de Vladimir Poutine." La suite sur euronews.com
Au pouvoir depuis 2010, Vikor Orban a rencontré le président russe en tête-à-tête une dizaine de fois et l'avait reçu à deux reprises en 2017, provoquant l'indignation de l'opposition hongroise qui dénonce sa complaisance envers un "autocrate".
En 2014, le Premier ministre souverainiste, régulièrement épinglé par ses alliés occidentaux pour ses penchants autoritaires, avait cité la Russie comme modèle, préférant un "Etat non libéral" à une démocratie libérale.
Cette "coopération politique est basée sur un simple fait géographique" qui tient à la place de Budapest au centre d'un "triangle Berlin-Moscou-Istanbul", a justifié Viktor Orban lors d'une conférence de presse aux côtés de Vladimir Poutine." La suite sur euronews.com
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A Budapest, Orbán et Poutine jouent la normalité
"Viktor Orbán et Vladimir Poutine se sont rencontrés à Budapest
mercredi pour renforcer les échanges économiques entre la Hongrie et la
Russie et faire affichage de leurs bonnes relations.
Lors d’une conférence de presse qui a suivi leur rencontre au couvent des Carmélites, dans le quartier du château, mercredi après-midi, le premier ministre hongrois et le président russe ont mis en avant la progression des échanges commerciaux russo-hongrois . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Lors d’une conférence de presse qui a suivi leur rencontre au couvent des Carmélites, dans le quartier du château, mercredi après-midi, le premier ministre hongrois et le président russe ont mis en avant la progression des échanges commerciaux russo-hongrois . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Le parti d’opposition hongrois Momentum dénonce une perquisition « politique » de ses locaux
"Mercredi matin, l'Autorité fiscale et douanière (NAV) a effectué une
perquisition au siège du parti d'opposition Momentum à Budapest.
Mercredi matin, des enquêteurs du département des enquêtes pénales de l'Autorité fiscale et douanière (NAV) ont fait irruption dans les locaux du siège du parti Momentum, l'un des principaux partis de l'opposition en Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Mercredi matin, des enquêteurs du département des enquêtes pénales de l'Autorité fiscale et douanière (NAV) ont fait irruption dans les locaux du siège du parti Momentum, l'un des principaux partis de l'opposition en Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Anna Mark / Lucien Hervé du 30 Oct 2019 - 30 Nov 2019 à la Galerie La Forest Divonne
Anna Mark
Née en 1928 en Hongrie, vit et travaille à Paris
Avec l’exactitude des artistes constructiviste, Anna Mark a élaboré une œuvre abstraite d’une grande rigueur, marquée par la géométrie le vide et l’ombre. « Là où le temps rencontre le lieu naissent les ombres. Elles sont mes sujets et mes outils. Je dessine avec l’ombre. »
Lucien Hervé
Né en 1910 en Hongrie, mort en 2007
Alors qu’il est proche de l’école humaniste d’après-guerre (Doisneau, Ronis…), l’œuvre de Lucien Hervé est profondément marquée par sa rencontre avec des architectes comme Oscar Niemeyer et surtout Le Corbusier dont il devient le photographe attitré. Cadrages en plongée, vues obliques, économie de moyens et volonté d’abstraction caractérisent son style photographique très différent de celui de ses contemporains.
Maître de la photographie d'architecture, Lucien Hervé est célèbre pour sa collaboration avec Le Corbusier et Oscar Niemeyer, pour ne citer qu'eux. A decouvrir à la galerie La Forest Divonne.
GALERIE PARIS 12 rue des Beaux-Arts 75006
+ 33 (0)1.40.29.97.52 / paris@galerielaforestdivonne.com
galerielaforestdivonne.fr
Née en 1928 en Hongrie, vit et travaille à Paris
Avec l’exactitude des artistes constructiviste, Anna Mark a élaboré une œuvre abstraite d’une grande rigueur, marquée par la géométrie le vide et l’ombre. « Là où le temps rencontre le lieu naissent les ombres. Elles sont mes sujets et mes outils. Je dessine avec l’ombre. »
Lucien Hervé
Né en 1910 en Hongrie, mort en 2007
Alors qu’il est proche de l’école humaniste d’après-guerre (Doisneau, Ronis…), l’œuvre de Lucien Hervé est profondément marquée par sa rencontre avec des architectes comme Oscar Niemeyer et surtout Le Corbusier dont il devient le photographe attitré. Cadrages en plongée, vues obliques, économie de moyens et volonté d’abstraction caractérisent son style photographique très différent de celui de ses contemporains.
Maître de la photographie d'architecture, Lucien Hervé est célèbre pour sa collaboration avec Le Corbusier et Oscar Niemeyer, pour ne citer qu'eux. A decouvrir à la galerie La Forest Divonne.
GALERIE PARIS 12 rue des Beaux-Arts 75006
+ 33 (0)1.40.29.97.52 / paris@galerielaforestdivonne.com
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mercredi 30 octobre 2019
Poutine en Hongrie pour relancer la coopération économique
"Vladimir Poutine se rend en Hongrie mercredi en vue de relancer les
échanges économiques, dans le cadre de relations diplomatiques
entretenues régulièrement entre Budapest et Moscou depuis le retour au
pouvoir de Viktor Orban en 2010 et malgré les critiques occidentales.
Le président russe doit évoquer notamment avec le premier ministre hongrois la signature d’un important contrat d’approvisionnement gazier, de l’élargissement d’une centrale nucléaire et d’un projet conjoint de livraison d’équipements ferroviaires à l’Égypte. Une conférence de presse doit avoir lieu en fin d’après-midi." La suite sur liberation.fr
Le président russe doit évoquer notamment avec le premier ministre hongrois la signature d’un important contrat d’approvisionnement gazier, de l’élargissement d’une centrale nucléaire et d’un projet conjoint de livraison d’équipements ferroviaires à l’Égypte. Une conférence de presse doit avoir lieu en fin d’après-midi." La suite sur liberation.fr
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Aides d'État: la Commission ouvre une enquête approfondie sur des mesures d'aide publique hongroises en faveur de Malév Ground Handling
"La Commission européenne a ouvert une enquête approfondie afin de déterminer si diverses mesures de financement, d'un montant total d'environ 21 millions d'euros, prises par des entités publiques hongroises en faveur de Malév Ground Handling (ci-après «Malév GH») constituent des aides d'État et si elles respectent les règles de l'UE en matière d'aides aux entreprises en difficulté.
Malév GH est une ancienne filiale de Malév, la compagnie aérienne hongroise qui a fait faillite en 2012. La société, actuellement détenue par l'agence chargée de la gestion des actifs de l'État hongrois MNV Zrt. (ci-après «MNV»), opère sur le marché de l'assistance en escale à l'aéroport de Budapest.
Depuis la faillite de Malév en 2012, Malév GH connaît des difficultés financières. MNV, ainsi qu'une autre entreprise d'État dénommée Tiszavíz et la banque hongroise de développement, Magyar Fejleszesti Bank (ci-après «MFB»), ont pris une série de mesures de financement en faveur de l'entreprise depuis 2012." La suite sur zonebourse.com
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Concurrence,
Entreprise,
Transport aérien
Ursula von der Leyen nomme les candidats commissaires français et hongrois
"La prochaine présidente de la Commission européenne, Ursula von der
Leyen, a officiellement nommé les commissaires hongrois et français dans
sa future équipe, a confirmé mardi son porte-parole. Le gouvernement
roumain a également été invité à désigner un nouveau candidat le plus
rapidement possible." La suite sur lalibre.be
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Commission européenne,
Union européenne
Le Pacte des villes libres: Budapest, Varsovie, Prague et Bratislava veulent défendre la démocratie
"Le nouveau maire de la capitale hongroise annonce une coopération avec
ses homologues polonais, tchèque et slovaque : « Nous allons former une
coalition car nous refusons de voir la démocratie piétinée dans nos
pays ».
Gergely Karácsony, candidat de l’opposition élu maire de la capitale hongroise le 13 octobre dernier, veut que la coalition des maires des capitales du Groupe de Visegrad exige de l’Union européenne plus de fonds directement pour les villes, et non pour les gouvernements. « Dans chacun de nos pays, le gouvernement nous éloigne du centre de l’Europe. Seules les grandes villes s’y opposent. Nos quatre capitales sont dirigées par des maires progressistes, ce qui ouvre la voie à la coopération », nous explique Karácsony. « S’il y a un pays où on sait que trente ans après la chute du communisme, la démocratie reste menacée, c’est bien la Pologne. Mardi, j’ai échangé avec Rafał Trzaskowski [maire de Varsovie] car nous sommes dans une situation similaire. »" La suite sur lesoir.be (article payant)
Gergely Karácsony, candidat de l’opposition élu maire de la capitale hongroise le 13 octobre dernier, veut que la coalition des maires des capitales du Groupe de Visegrad exige de l’Union européenne plus de fonds directement pour les villes, et non pour les gouvernements. « Dans chacun de nos pays, le gouvernement nous éloigne du centre de l’Europe. Seules les grandes villes s’y opposent. Nos quatre capitales sont dirigées par des maires progressistes, ce qui ouvre la voie à la coopération », nous explique Karácsony. « S’il y a un pays où on sait que trente ans après la chute du communisme, la démocratie reste menacée, c’est bien la Pologne. Mardi, j’ai échangé avec Rafał Trzaskowski [maire de Varsovie] car nous sommes dans une situation similaire. »" La suite sur lesoir.be (article payant)
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Union européenne
Poutine une nouvelle fois à Budapest, la caution réciproque
"Aucune année ne passe depuis 2014 sans que le président russe et son
homologue hongrois ne se rencontrent, au moins un fois. C'est un
cautionnement réciproque qui va notamment à l'encontre de la politique
isolationniste et des sanctions de l'Union européenne prises depuis
l'annexion de la Crimée à l'égard de Moscou.
Éclairage de l'analyste Dorka Takacsi :
''Une rencontre Poutine-Orban a lieu chaque année. En 2017, ils se sont même rencontrés à deux reprises, ce qui est beaucoup et qui prouve que la Hongrie est en quelque sorte sur-représentée régionalement ou pour son rôle européen. Il y a beaucoup plus de rencontres entre Poutine et Orban que ce qui devrait être compte tenu de la puissance économique hongroise." La suite sur euronews.com
Éclairage de l'analyste Dorka Takacsi :
''Une rencontre Poutine-Orban a lieu chaque année. En 2017, ils se sont même rencontrés à deux reprises, ce qui est beaucoup et qui prouve que la Hongrie est en quelque sorte sur-représentée régionalement ou pour son rôle européen. Il y a beaucoup plus de rencontres entre Poutine et Orban que ce qui devrait être compte tenu de la puissance économique hongroise." La suite sur euronews.com
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mardi 29 octobre 2019
La Hongrie se retire de l’Eurovision
"La Hongrie ne sera pas représentée au grand concours européen de la chanson l’année prochaine. Ainsi en a décidé la très conservatrice direction des médias publics hongrois.
Est-ce la barbe de la drag-queen Conchita Wurst, lauréate autrichienne en 2014, qui a hérissé le poil des conservateurs hongrois ? La chevelure blonde du français Bilal Hassani, propulsé cette année au rang d’icône queer, qui les a défrisés ? Toujours est-il que le ou la gagnante du grand concours de la chanson pop hongroise, « A Dal », le tremplin habituel pour la grand-messe de la chanson européenne, sera privé d’Eurovision.
Comme les années précédentes, les talents hongrois pourront s’affronter lors d’un concours diffusé par la télévision publique, mais les producteurs du show ont expliqué au tabloïd Blikk : « L’année prochaine, nous voulons aider directement le gagnant. Nous avons mis en place un ensemble de récompenses qui apportera beaucoup au gagnant ». Clip diffusé que la chaîne Duna TV, promotion sur la radio Petőfi, programmation dans des grands festivals du pays, et Prix Petőfi de la « Chanson de l’année » sont en effet promis au futur lauréat. Mais pas d’Eurovision…" La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Est-ce la barbe de la drag-queen Conchita Wurst, lauréate autrichienne en 2014, qui a hérissé le poil des conservateurs hongrois ? La chevelure blonde du français Bilal Hassani, propulsé cette année au rang d’icône queer, qui les a défrisés ? Toujours est-il que le ou la gagnante du grand concours de la chanson pop hongroise, « A Dal », le tremplin habituel pour la grand-messe de la chanson européenne, sera privé d’Eurovision.
Comme les années précédentes, les talents hongrois pourront s’affronter lors d’un concours diffusé par la télévision publique, mais les producteurs du show ont expliqué au tabloïd Blikk : « L’année prochaine, nous voulons aider directement le gagnant. Nous avons mis en place un ensemble de récompenses qui apportera beaucoup au gagnant ». Clip diffusé que la chaîne Duna TV, promotion sur la radio Petőfi, programmation dans des grands festivals du pays, et Prix Petőfi de la « Chanson de l’année » sont en effet promis au futur lauréat. Mais pas d’Eurovision…" La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
L'installation d'une mystérieuse "banque du Kremlin" suscite le trouble en Hongrie
"L'installation à Budapest d'une banque suspectée d'être une branche des services secrets russes suscite l'inquiétude de l'opposition hongroise, mais aussi des Etats-Unis, à la veille d'une visite du président russe Vladimir Poutine en Hongrie.
Surnommée par l'opposition hongroise "le cheval de Troie de Poutine" en Europe centrale, l'International Investment Bank (IIB), dirigée par le fils d'espions soviétiques, a définitivement pris ses quartiers le mois dernier dans la capitale hongroise.
"C'était une mauvaise idée d'apporter l'International Investment Bank (IIB) à Budapest", a affirmé l'ambassade américaine dans un courrier électronique adressé à l'AFP mardi.
"Potentiellement, la Russie peut utiliser la présence de cette banque en Hongrie pour introduire des acteurs russes malveillants au sein de l'espace Schengen", ajoute la représentation diplomatique américaine, corroborant les craintes de l'opposition qui dénonce une "atteinte à la sécurité nationale". La suite sur lalibre.be
Surnommée par l'opposition hongroise "le cheval de Troie de Poutine" en Europe centrale, l'International Investment Bank (IIB), dirigée par le fils d'espions soviétiques, a définitivement pris ses quartiers le mois dernier dans la capitale hongroise.
"C'était une mauvaise idée d'apporter l'International Investment Bank (IIB) à Budapest", a affirmé l'ambassade américaine dans un courrier électronique adressé à l'AFP mardi.
"Potentiellement, la Russie peut utiliser la présence de cette banque en Hongrie pour introduire des acteurs russes malveillants au sein de l'espace Schengen", ajoute la représentation diplomatique américaine, corroborant les craintes de l'opposition qui dénonce une "atteinte à la sécurité nationale". La suite sur lalibre.be
László Trocsányi : "Ma récusation au poste de commissaire européen était une décision politique"
László Trocsányi, eurodéputé hongrois du Parti populaire européen,
revient sur sa récusation au poste de commissaire européen à
l'Élargissement. Pour lui, il s'agit d'une décision politique ciblant
l'ancien ministre de la Justice de Viktor Orban. Auteur de la loi
controversée sur la réforme de la justice qui a valu au pays
l’activation de l’article 7, il estime que malgré les divergences, il
faut communiquer dans l'UE comme au sein d'une même famille.
Sur le Brexit, László Trocsányi se félicite du rôle de négociateur joué par Michel Barnier. Il revient aussi sur le "rendez-vous manqué" avec l’Albanie et la Macédoine du Nord, après le refus d'Emmanuel Macron d'entamer des négociations en vue de leur entrée dans l'UE, malgré les importantes réformes qu'ils ont menées.
Émission présentée par Xavier Chemisseur
Production : Isabelle Romero, Mathilde Bénézet et Céline Schmitt.
Source : france24.com
Sur le Brexit, László Trocsányi se félicite du rôle de négociateur joué par Michel Barnier. Il revient aussi sur le "rendez-vous manqué" avec l’Albanie et la Macédoine du Nord, après le refus d'Emmanuel Macron d'entamer des négociations en vue de leur entrée dans l'UE, malgré les importantes réformes qu'ils ont menées.
Émission présentée par Xavier Chemisseur
Production : Isabelle Romero, Mathilde Bénézet et Céline Schmitt.
Source : france24.com
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Concours Eurovision. La très conservatrice télé hongroise se retire de l’édition 2020
"La direction des médias publics a décidé de retirer la Hongrie de
l’édition 2020 de l'Eurovision, le grand concours européen de la
chanson. Officiellement, cela n’a rien à avoir avec la présence
d’artistes LGBT, comme Conchita Wurst, lauréate en 2014. Mais, comme par
hasard, les médias gouvernementaux relaient la bruyante approbation des
partisans du boycottage…
Est-ce la barbe de la drag-queen Conchita Wurst, lauréate autrichienne en 2014, qui hérisse le poil des conservateurs hongrois ? Ou la chevelure blonde du français Bilal Hassani, propulsé cette année au rang d’icône queer ? Le ou la gagnante d’A Dal, le grand concours de la chanson pop hongroise, ne sera pas qualifié pour la prochaine grand-messe de l’Eurovision, programmée aux Pays-Bas en mai prochain." La suite sur ouest-france.fr
Est-ce la barbe de la drag-queen Conchita Wurst, lauréate autrichienne en 2014, qui hérisse le poil des conservateurs hongrois ? Ou la chevelure blonde du français Bilal Hassani, propulsé cette année au rang d’icône queer ? Le ou la gagnante d’A Dal, le grand concours de la chanson pop hongroise, ne sera pas qualifié pour la prochaine grand-messe de l’Eurovision, programmée aux Pays-Bas en mai prochain." La suite sur ouest-france.fr
Radio Free Europe de retour en Hongrie
"Les entraves à la liberté de la presse se multiplient en Hongrie depuis 2010, sous l'impulsion du Premier ministre Orbán. Radio Free Europe projette de réouvrir son antenne hongroise pour y remédier, au moment où la percée inattendue de l'opposition aux récentes élections municipales redonne un peu d'espoir aux médias non affiliés au pouvoir. Tout un symbole, rien qu'un symbole?
Début septembre, la nouvelle a été reçue comme une gifle par les autorités hongroises. Radio Free Europe, la légendaire radio américaine qui émettait dans le Bloc de l’Est durant la Guerre froide, projette de réouvrir son antenne hongroise depuis Prague. «Szabadság Rádiót» avait cessé ses activités dans le pays en 1993, considérant sa mission accomplie." La suite sur bonpourlatete.com (article payant)
Début septembre, la nouvelle a été reçue comme une gifle par les autorités hongroises. Radio Free Europe, la légendaire radio américaine qui émettait dans le Bloc de l’Est durant la Guerre froide, projette de réouvrir son antenne hongroise depuis Prague. «Szabadság Rádiót» avait cessé ses activités dans le pays en 1993, considérant sa mission accomplie." La suite sur bonpourlatete.com (article payant)
lundi 28 octobre 2019
Le maire de Szeged quitte le Parti socialiste hongrois
"Coup dur pour les socialistes hongrois. László Botka, figure de la gauche hongroise, triomphalement réélu il y a deux semaines à la tête de la troisième ville de Hongrie, a décidé de quitter le MSzP dont il était adhérent depuis 1991.
Budapest - László Botka a annoncé ce lundi quitter le Parti socialiste hongrois (MSzP). Ancien député, maire de Szeged depuis 2002, cette figure de la gauche hongroise a déclaré vouloir œuvrer au rassemblement de l'opposition au niveau local, en dehors de la vie partisane. Cette annonce survient deux semaines après les élections municipales à l'issue desquelles il a été très largement réélu à la tête de la troisième ville du pays, avec plus de 60% des voix . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Budapest - László Botka a annoncé ce lundi quitter le Parti socialiste hongrois (MSzP). Ancien député, maire de Szeged depuis 2002, cette figure de la gauche hongroise a déclaré vouloir œuvrer au rassemblement de l'opposition au niveau local, en dehors de la vie partisane. Cette annonce survient deux semaines après les élections municipales à l'issue desquelles il a été très largement réélu à la tête de la troisième ville du pays, avec plus de 60% des voix . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Close Encounters with Vilmos Zsigmond Samedi 16 novembre 2019 de 14 h à 16 h Cinéma le Grand Action
Sans Vilmos Zsigmond (disparu le 1er janvier 2016), le cinéma américain des années soixante-dix ne serait pas le même. Invité à Paris en 2014 pour évoquer sa carrière, ce mythique chef opérateur accepte de passer devant la caméra pour une rencontre d’un autre type. C’est l’histoire de deux hommes. L’un au sommet de sa gloire, couronné à Cannes pour l’ensemble de sa carrière, par le prix de l’American Society of Cinematographers en 1999. L’autre, réalisateur et scénariste, rêvant de travailler avec le plus grand des chefs opérateurs, pour son premier long-métrage, A Dream Last Night. D’un projet de collaboration professionnelle entre les deux naît une amitié, et de cette amitié, une évidence : que l’un filme l’autre. Dans un documentaire, Close Encounters with Vilmos Zsigmond le français Pierre Filmon suit ainsi ce géant du cinéma, à Los Angeles, Budapest et Paris, et revient sur la personnalité d’un des Hongrois les plus célèbres d’Hollywood.
Un documentaire de Pierre Filmon, 80min, VOSTFR
Projection en présence du réalisateur.
Événement Facebook
La projection sera suivie d’une vente du DVD du film et rencontre-dédicace avec le réalisateur.
Cinéma le Grand Action
5 rue des Écoles 750005 Paris
Entrée : 9,50€ plein tarif
7,50€ tarif réduit
www.legrandaction.com
Un documentaire de Pierre Filmon, 80min, VOSTFR
Projection en présence du réalisateur.
Événement Facebook
La projection sera suivie d’une vente du DVD du film et rencontre-dédicace avec le réalisateur.
Cinéma le Grand Action
5 rue des Écoles 750005 Paris
Entrée : 9,50€ plein tarif
7,50€ tarif réduit
www.legrandaction.com
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Institut hongrois,
Photographie
Voyage au bout de l’enfer (The Deer Hunter) Samedi 16 novembre 2019 de 16 h à 19 h Cinéma Le Grand Action
Cinq ouvriers d’une usine sidérurgique de Pennsylvanie, immigrés d’Europe de l’Est, dont le plaisir favori est la chasse au daim en montagne, se retrouvent sur le front du Vietnam et luttent pour leur survie. Voyage au bout de l’enfer donna l’occasion à Michael Cimino de travailler pour la première fois avec le directeur de la photographie Vilmos Zsigmond. Ce premier travail en commun a valu des Oscars pour tous les deux. Ils collaboreront à nouveau ensemble en 1980 pour les besoins de La Porte du paradis. Ce film, généralement considéré comme un des plus marquants sur la guerre du Vietnam, s’intéresse moins aux scènes de guerre qu’à la psychologie des personnages et aux ravages produits par les traumatismes subis. Ce deuxième film de Cimino est également le seul de sa filmographie qui a été reconnu dès sa sortie comme une incontestable réussite.
Réalisateur : Michael Cimino
Directeur de la photographie : Vilmos Zsigmond, 1978, 183min, VOSTFR
Cinéma le Grand Action
5 rue des Écoles 750005 Paris
Entrée : 9,50€ plein tarif
7,50€ tarif réduit
Réalisateur : Michael Cimino
Directeur de la photographie : Vilmos Zsigmond, 1978, 183min, VOSTFR
Cinéma le Grand Action
5 rue des Écoles 750005 Paris
Entrée : 9,50€ plein tarif
7,50€ tarif réduit
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Simon Hantaï, une symphonie en noir et blanc
Voilà une relecture spectaculaire d’un passé proche. Tant son artiste est à la fois connu et encore méconnu. Simon Hantaï est né Simon Handl en 1922 à Bia (aujourd’hui Biatorbágy) en Hongrie. Il est mort sous son nom d’artiste le 12 septembre 2008 à Paris. En 2013, le Centre Pompidou lui consacre une superbe rétrospective pleine d’air, de couleurs et de lumière, sous le commissariat de Dominique Fourcade, d’Isabelle Monod-Fontaine et d’Alfred Pacquement. On y apprenait déjà le secret de ses Études peintes bord à bord sur des toiles pliées régulièrement et systématiquement. La peinture se dépliait tout d’un coup, s’ouvrait comme un tour de magicien, dans les petits films d’atelier en noir et blanc, pour devenir un champ clair de signes et de couleurs." La suite sur lefigaro.fr
Simon Hantaï, les noirs du blanc, les blancs du noir, chez Gagosian Bourget. 26, avenue de l’Europe, Le Bourget (93). Tél.: 01 48 16 16 47. Le mardi et le samedi, de 11h à 18h. Jusqu’au 14 mars.
Faute de main d’oeuvre, Roumanie et Hongrie recrutent jusqu’en Asie
"Casque jaune vissé sur la tête, une trentaine d’hommes s’affairent
sur un chantier au sud de Bucarest, échangeant quelques mots en
vietnamien: confrontée à une pénurie croissante de main d’œuvre qui
menace de gripper son économie, la Roumanie déroule le tapis rouge aux
travailleurs asiatiques.
«My friend, my friend», lance Costel, un ouvrier roumain à un «ami» vietnamien, dans un effort de briser la barrière linguistique sur ce chantier géré par la mairie du 4ème arrondissement.
En dehors du travail, les moments d’échange entre les deux groupes sont limités: à la pause cigarette, les Asiatiques plébiscitent un calumet improvisé à partir d’un tuyau en PVC ; au déjeuner, ils partagent dans une salle à manger un repas consistant de plusieurs plats préparés par un chef vietnamien.
«Nous avions de l’argent pour rénover des dizaines de HLM mais pas la main d’oeuvre nécessaire», explique à l’AFP le maire Daniel Baluta qui a décidé de recruter loin des frontières européennes. Terres d’émigration et de faible natalité, tous les pays du flanc est du continent sont confrontés à la même carence de main d’oeuvre.
La Hongrie voisine prévoit d’accorder 75.000 permis de travail en 2019 à des travailleurs hors Union européenne, soit trois fois plus qu’en 2017. La majorité d’entre eux continue de venir d’Ukraine mais ils sont de plus en plus nombreux à être originaires du Vietnam, de Chine, d’Inde, de Mongolie. Le gouvernement du Premier ministre nationaliste Viktor Orban, communique peu sur ce sujet alors que le refus de l’immigration constitue le fil rouge de sa politique depuis 2010." La suite sur liberation.fr
«My friend, my friend», lance Costel, un ouvrier roumain à un «ami» vietnamien, dans un effort de briser la barrière linguistique sur ce chantier géré par la mairie du 4ème arrondissement.
En dehors du travail, les moments d’échange entre les deux groupes sont limités: à la pause cigarette, les Asiatiques plébiscitent un calumet improvisé à partir d’un tuyau en PVC ; au déjeuner, ils partagent dans une salle à manger un repas consistant de plusieurs plats préparés par un chef vietnamien.
«Nous avions de l’argent pour rénover des dizaines de HLM mais pas la main d’oeuvre nécessaire», explique à l’AFP le maire Daniel Baluta qui a décidé de recruter loin des frontières européennes. Terres d’émigration et de faible natalité, tous les pays du flanc est du continent sont confrontés à la même carence de main d’oeuvre.
La Hongrie voisine prévoit d’accorder 75.000 permis de travail en 2019 à des travailleurs hors Union européenne, soit trois fois plus qu’en 2017. La majorité d’entre eux continue de venir d’Ukraine mais ils sont de plus en plus nombreux à être originaires du Vietnam, de Chine, d’Inde, de Mongolie. Le gouvernement du Premier ministre nationaliste Viktor Orban, communique peu sur ce sujet alors que le refus de l’immigration constitue le fil rouge de sa politique depuis 2010." La suite sur liberation.fr
L'Université d'Europe centrale quitte Budapest pour Vienne en Autriche
"Une université forcée de quitter la Hongrie. La Central European University était dans le viseur du gouvernement hongrois de Viktor Orban en raison de son financier, le milliardaire libéral américain George Soros, chantre de la « société ouverte ». Après deux ans de bras de fer, l’établissement anglophone a fait ses bagages. L’université s’installe maintenant à 250 kilomètres à
l’ouest de Budapest – à seulement trois heures de route, mais dans une
tout autre ambiance de liberté académique – dans une autre capitale :
Vienne, en Autriche. La Central European University y a inauguré en
octobre son nouveau campus. Pour l’instant, seuls 300 étudiants y ont
été relocalisés, l’ensemble de leurs camarades suivra l’année prochaine.
Céline Béal a rencontré ces premiers déplacés académiques.
Le reportage est à lire ou à écouter dans son intégralité dans l’émission Accents d'Europe."
Source : rfi.fr
Le reportage est à lire ou à écouter dans son intégralité dans l’émission Accents d'Europe."
Source : rfi.fr
Au carré du THV du Havre, un certain regard sur la Hongrie
"Exposition. Le voyage à travers l’art contemporain, les rencontres et les échanges avec des artistes d’autres pays se poursuivent au THV.
Nouvelle rencontre entre trois plasticiens de la région havraise et trois artistes d’un autre pays. Après l’Allemagne, le Maroc, la Tchéquie, la Corée, la Moldavie, la Macédoine, le Royaume-Uni et le Danemark, et un mois avant la Slovaquie, c’est la Hongrie qui est à l’honneur dans l’écrin précieux du Carré du THV. Barbara Fodor, Sandor Molnar et Maria Petak ont apporté des œuvres sur papier caractérisées par une grande sensibilité." La suite sur paris-normandie.fr
Nouvelle rencontre entre trois plasticiens de la région havraise et trois artistes d’un autre pays. Après l’Allemagne, le Maroc, la Tchéquie, la Corée, la Moldavie, la Macédoine, le Royaume-Uni et le Danemark, et un mois avant la Slovaquie, c’est la Hongrie qui est à l’honneur dans l’écrin précieux du Carré du THV. Barbara Fodor, Sandor Molnar et Maria Petak ont apporté des œuvres sur papier caractérisées par une grande sensibilité." La suite sur paris-normandie.fr
Jusqu’au 3 novembre. Du mardi au samedi de 12 h 45 à 18 h 30 et le mercredi de 9 h 30 à 11 h.
dimanche 27 octobre 2019
George Cziffra joue les compositeurs romantiques
"Suite du triptyque consacré au grand pianiste franco-hongrois disparu il y a 25 ans. Après Liszt, coeur du répertoire et de la légende de Cziffra, voici d’autres compositeurs du XIXème siècle : où l’on redécouvre le lyrisme à fleur de peau et la subtilité du virtuose." A écouter sur francemusique.fr (1h58mn)
On vous explique pourquoi des Hongrois viennent apprendre du savoir-faire du fromage cantalien à Aurillac
"Le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole
d’Aurillac (Cantal) a reçu, du 21 au 25 octobre, une douzaine de
producteurs hongrois pour une formation sur la fabrication des pâtes
persillées.
Le Cantal est une référence. Spécialement pour son
savoir-faire dans le domaine du fromage. Cantal, salers, bleu d’Aurillac
ou fromage du pays, le département ne manque pas de faire-valoir. En
plus de cela, la capitale cantalienne possède le Centre de formation
professionnelle et de promotion agricole (CFPPA). L’établissement se
situe rue Salers, en périphérie du lycée Georges-Pompidou et notamment
de l’École nationale des industries du lait et des viandes (ENILV)." La suite sur lamontagne.fr
samedi 26 octobre 2019
Le ministre hongrois des Affaires étrangères a rencontré le Premier ministre albanais le 24 octobre 2019
"La Hongrie s’est engagée à soutenir
l’élargissement de l’Union européenne, dans l’intérêt de l’Europe et de
la Hongrie, a déclaré à Tirana le ministre hongrois des Affaires
étrangères, Péter Szijjártó, après qu’il s’être entretenu avec le
Premier ministre albanais, Edi Rama.
Szijjártó a déclaré que l’approche de “la
Commission européenne et de quelques pays d’Europe occidentale”,
entraînant un blocage des négociations d’adhésion, était “hypocrite et
extrêmement préjudiciable”.
La poursuite de l’élargissement de l’UE
et de l’intégration des Balkans occidentaux est dans l’intérêt
stratégique et économique de la Hongrie, a déclaré Szijjártó lors d’une
conférence de presse."
Source : rti.rtsh.al
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Politique étrangère,
Union européenne
Eurovision - Hongrie 2020 : Lancement d'A Dal 2020
"La chaîne de télévision publique hongroise MTVA vient de lancer les
inscriptions et de publier le règlement complet de l'édition 2020 d'A
DAL, sans que ne soit mentionné dans quelconque document publié ce jour
l'Eurovision 2020, qui se déroulera du 12 au 16 Mai 2020 au sein de
l'Ahoy Rotterdam, aux Pays-Bas.
De surcroît, l'entité audiovisuelle publique hongroise n'a pas confirmé sa participation aux festivités de mai prochain.
A Dal est un format avec 30 chansons en compétition, qui sera constituée en 2020 de 8 primes hebdomadaires les Samedis du 18 Janvier 2020 au 7 Mars 2020, au cours de laquelle la décision finale appartiendra à 50% par les téléspectateurs et à 50% par le vote d'experts.
La Hongrie utilise cette sélection depuis 2012 pour l'Eurovision, mais a connu un coup d'arrêt en 2019 avec une élimination en demi-finale.
Les participants ont jusqu'au 22 novembre 2019 pour soumettre leur contribution." La suite sur eurovision-fr.net
De surcroît, l'entité audiovisuelle publique hongroise n'a pas confirmé sa participation aux festivités de mai prochain.
A Dal est un format avec 30 chansons en compétition, qui sera constituée en 2020 de 8 primes hebdomadaires les Samedis du 18 Janvier 2020 au 7 Mars 2020, au cours de laquelle la décision finale appartiendra à 50% par les téléspectateurs et à 50% par le vote d'experts.
La Hongrie utilise cette sélection depuis 2012 pour l'Eurovision, mais a connu un coup d'arrêt en 2019 avec une élimination en demi-finale.
Les participants ont jusqu'au 22 novembre 2019 pour soumettre leur contribution." La suite sur eurovision-fr.net
A Budapest, les rocambolesques prises de fonction des nouveaux élus d’opposition
"Recomptages dans les arrondissements pris par l'opposition, bureaux
vidés, vagues de démission dans les administrations municipales. Le
Fidesz a tout fait pour saboter les passations de pouvoir après les
élections municipales du 13 octobre dernier.
Budapest - Le dimanche 13 octobre au soir, beau joueur, le maire sortant de Budapest István Tarlós, n'a pas attendu la confirmation des résultats pour saluer la victoire de son adversaire Gergely Karácsony. Dans des arrondissements-clé de la capitale, le Fidesz a, au contraire, mis tout en oeuvre pour freiner l'investiture des nouveaux maires élus . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Budapest - Le dimanche 13 octobre au soir, beau joueur, le maire sortant de Budapest István Tarlós, n'a pas attendu la confirmation des résultats pour saluer la victoire de son adversaire Gergely Karácsony. Dans des arrondissements-clé de la capitale, le Fidesz a, au contraire, mis tout en oeuvre pour freiner l'investiture des nouveaux maires élus . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Croatie, Hongrie, Slovaquie et Slovénie créent un commandement conjoint des opérations spéciales
"Ce vendredi, en marge du Sommet des
ministres de la Défense de l'Alliance, les ministres de la Défense de la
Croatie, de la Hongrie, de la Slovaquie et de la Slovénie ont signé un
mémorandum d’entente sur l’établissement d’un commandement régional de
composantes Opérations spéciales (R-SOCC). L'Autriche n'a pas signé
alors qu'elle était dans le groupe initial; elle reste un "partenaire"
mais pas un membre du R-SOCC.
Ce commandement multinational, placé
sous la direction de la Hongrie, va accroître l’aptitude de ces quatre
pays à utiliser efficacement leurs forces spéciales." La suite sur ouest-france.fr
A Budapest, des militants d’extrême droite brûlent un drapeau arc-en-ciel
"Une cinquantaine de militants d’extrême droite ont attaqué un centre culturel à Budapest en Hongrie, mercredi 23 octobre. Ils ont brûlé un drapeau arc-en-ciel avant de recouvrir le bâtiment de slogans néo-fascistes.L’incident s’est déroulé mercredi 23 octobre. Aux environs de 14h,
une cinquantaine de militants d’extrême droite ont attaqué un centre
culturel associatif dans le 8e arrondissement de Budapest, « Aurora ».
Selon le site Vice, qui relaie l’information, des membres du groupe « Legio Hungaria » ont déchiré un drapeau arc-en-ciel qui se trouvait sur la façade avant de le brûler et d’inscrire des slogans nazis sur le portail et les murs du bâtiment. Personne n’a été blessé." La suite sur tetu.com
Selon le site Vice, qui relaie l’information, des membres du groupe « Legio Hungaria » ont déchiré un drapeau arc-en-ciel qui se trouvait sur la façade avant de le brûler et d’inscrire des slogans nazis sur le portail et les murs du bâtiment. Personne n’a été blessé." La suite sur tetu.com
L’offensive turque en Syrie sert les intérêts hongrois, selon Orban
"Budapest, 25 oct 2019 (AFP) - Le Premier
ministre hongrois Viktor Orban a estimé vendredi que l’offensive
militaire de la Turquie en Syrie était dans l’intérêt de son pays, pour
éviter une augmentation du nombre de réfugiés cherchant à s’exiler en
Europe.
Le 9 octobre, la Turquie a lancé une offensive dans le nord-est de la Syrie visant une milice kurde considérée comme « terroriste » par Ankara.
Selon Ankara, l’objectif premier de ces incursions est d’établir une « zone de sécurité », qui doit à terme accueillir une partie des quelque 3,6 millions de réfugiés syriens que la Turquie abrite depuis le début du conflit, en 2011.
Le Premier ministre nationaliste hongrois a repris cette justification à son compte, estimant que la zone a été « stabilisée militairement (...) au prix de conflits et de batailles » et permettrait aux réfugiés syriens en Turquie de « rentrer chez eux »." La suite sur armenews.com
Le 9 octobre, la Turquie a lancé une offensive dans le nord-est de la Syrie visant une milice kurde considérée comme « terroriste » par Ankara.
Selon Ankara, l’objectif premier de ces incursions est d’établir une « zone de sécurité », qui doit à terme accueillir une partie des quelque 3,6 millions de réfugiés syriens que la Turquie abrite depuis le début du conflit, en 2011.
Le Premier ministre nationaliste hongrois a repris cette justification à son compte, estimant que la zone a été « stabilisée militairement (...) au prix de conflits et de batailles » et permettrait aux réfugiés syriens en Turquie de « rentrer chez eux »." La suite sur armenews.com
vendredi 25 octobre 2019
Shia LaBeouf jouera dans le drame “Pieces of a Woman”
"L'acteur américain va jouer dans le prochain film du réalisateur
hongrois Kornél Mundruczó, qui met en scène une femme endeuillée après
un accouchement tragique à domicile.
Shia LaBeouf, dont la vie va faire l'objet d'un biopic réalisé
par Alma Har'el (qui sortira le 8 novembre aux Etats-Unis), va jouer
dans le prochain film du réalisateur Kornél Mundruczó, Pieces of a Woman." La suite sur lesinrocks.com
Des néo-nazis auraient tenté d’incendier un centre juif à Budapest
"Le centre communautaire Aurora était vide lors de l'attaque, qui a fait des dégâts mineurs.
Un centre communautaire et militant juif de Budapest a été visé par une tentative d’incendie de la part de néonazis, ont fait savoir ses responsables.
Le centre communautaire Aurora situé dans le centre-ville de la capitale hongroise était vide lors de l’attaque perpétrée mercredi, d’après Adam Schonberger, directeur de Marom, une association juive qui gère et possède Aurora. L’incident n’a fait aucun blessé." La suite sur timeofisrael.com
Un centre communautaire et militant juif de Budapest a été visé par une tentative d’incendie de la part de néonazis, ont fait savoir ses responsables.
Le centre communautaire Aurora situé dans le centre-ville de la capitale hongroise était vide lors de l’attaque perpétrée mercredi, d’après Adam Schonberger, directeur de Marom, une association juive qui gère et possède Aurora. L’incident n’a fait aucun blessé." La suite sur timeofisrael.com
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A Genève, Ivan Fischer vient faire chanter «son» Orfeo
"Le chef hongrois a restauré la scène finale de l’opéra de Monteverdi,
que le Grand Théâtre accueille pour deux soirs. Tour d’horizon d’un
projet singulier.
Il est très clair, Ivan Fischer. «Quand la mise en scène et la direction musicale suivent des voies différentes, alors l’opéra n’a plus de sens.» Cette conception artistique personnelle, elle, a du sens. Pour peu que le Deus ex machina d’un tel projet «total», à la Wagner, ait suffisamment de talent dans les différentes disciplines en jeu.
Pour le chef hongrois, même s’il n’est pas le concepteur du livret et de la musique d’Orfeo de Monteverdi, comme le grand Richard l’était pour ses créations lyriques, l’évidence s’impose. «L’opéra réunit plusieurs arts dans un seul geste. C’est une entité. Cette unité est essentielle. Réaliser la mise en scène tout en dirigeant un ouvrage s’inscrit pour moi dans une dynamique organique.»" La suite sur letemps.ch
Il est très clair, Ivan Fischer. «Quand la mise en scène et la direction musicale suivent des voies différentes, alors l’opéra n’a plus de sens.» Cette conception artistique personnelle, elle, a du sens. Pour peu que le Deus ex machina d’un tel projet «total», à la Wagner, ait suffisamment de talent dans les différentes disciplines en jeu.
Pour le chef hongrois, même s’il n’est pas le concepteur du livret et de la musique d’Orfeo de Monteverdi, comme le grand Richard l’était pour ses créations lyriques, l’évidence s’impose. «L’opéra réunit plusieurs arts dans un seul geste. C’est une entité. Cette unité est essentielle. Réaliser la mise en scène tout en dirigeant un ouvrage s’inscrit pour moi dans une dynamique organique.»" La suite sur letemps.ch
Cyclisme - Tour d’Italie: départ en Hongrie, 3 chronos et 7 arrivées au sommet au programme du Giro 2020
"Le Tour d’Italie 2020 se déroulera du 9 au 31 mai et débutera par un contre-la-montre de 9,5 kilomètres à Budapest, la capitale de la Hongrie.
Le Giro 2020, dont la présentation officielle a
eu lieu jeudi à Milan, se terminera aussi par un chrono individuel, qui
reliera Cernusco sul Naviglio à Milan sur 16,5 km.
Le 103e Tour d’Italie passera trois jours en Hongrie. En effet, après le chrono d’ouverture, deux étapes en ligne auront lieu en Hongrie, sur un parcours favorable aux sprinters. La 2e étape (193 km), partira de Budapest et se terminera à Györ, la principale ville du nord-ouest du pays. La 3e étape (197 km) reliera Székesfehérvár à Nagykanizsa après avoir longé le lac Balaton.
Le départ de Hongrie, une grande nouveauté pour ce pays qui n’a encore jamais accueilli un grand tour cycliste, sera le 14e donné hors d’Italie dans l’histoire du Giro." La suite sur lavenir.net
Le 103e Tour d’Italie passera trois jours en Hongrie. En effet, après le chrono d’ouverture, deux étapes en ligne auront lieu en Hongrie, sur un parcours favorable aux sprinters. La 2e étape (193 km), partira de Budapest et se terminera à Györ, la principale ville du nord-ouest du pays. La 3e étape (197 km) reliera Székesfehérvár à Nagykanizsa après avoir longé le lac Balaton.
Le départ de Hongrie, une grande nouveauté pour ce pays qui n’a encore jamais accueilli un grand tour cycliste, sera le 14e donné hors d’Italie dans l’histoire du Giro." La suite sur lavenir.net
jeudi 24 octobre 2019
Andras Nemeth approche les 18 millions de gains online
"Le Hongrois Andras Nemeth continue d'affoler les compteurs sur
Internet. Celui qui rase online sous le pseudo de “probirs” a raflé 677
000$ dimanche dernier... de quoi cumuler 17,7 millions de dollars de
gains en jouant au poker sur un ordinateur !
Nemeth a gagné sur PokerStars et Natural8, remportant d'abord le Sunday High Roller à 2100$ sur PS.
Le Hongrois a dominé 66 adversaires pour encaisser la plus grosse partie d'un prizepool de 132 000$. Pour gagner 41 015$, probirs a du se débarrasser de Michael “imluckbox” Addamo en head's up." La suite sur pokernews.com
Nemeth a gagné sur PokerStars et Natural8, remportant d'abord le Sunday High Roller à 2100$ sur PS.
Le Hongrois a dominé 66 adversaires pour encaisser la plus grosse partie d'un prizepool de 132 000$. Pour gagner 41 015$, probirs a du se débarrasser de Michael “imluckbox” Addamo en head's up." La suite sur pokernews.com
Vandalisme néonazi contre un célèbre lieu alternatif de Budapest
"Une cinquantaine de militants néonazis s'en sont pris hier après-midi au
lieu alternatif Auróra, situé dans le huitième arrondissement de
Budapest. C'est la deuxième fois en moins d'un mois que l'extrême droite
s'en prend à ce centre culturel associé aux combats en faveur des
minorités ethniques et sexuelles.
Budapest - Un groupe de militants néonazis a vandalisé hier en début d'après-midi le centre culturel Auróra, situé dans le huitième arrondissement de Budapest. Trouvant porte close, les membres de la "Légió Hungária" ont dégradé l'entrée et brûlé le drapeau arc-en-ciel qui se trouvait sur la façade. C'est la deuxième agression en un mois que doit affronter cet établissement qui abrite un bar, de nombreuses associations, et dont le gérant Marom est une importante organisation culturelle juive de la capitale hongroise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Budapest - Un groupe de militants néonazis a vandalisé hier en début d'après-midi le centre culturel Auróra, situé dans le huitième arrondissement de Budapest. Trouvant porte close, les membres de la "Légió Hungária" ont dégradé l'entrée et brûlé le drapeau arc-en-ciel qui se trouvait sur la façade. C'est la deuxième agression en un mois que doit affronter cet établissement qui abrite un bar, de nombreuses associations, et dont le gérant Marom est une importante organisation culturelle juive de la capitale hongroise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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mercredi 23 octobre 2019
Marché aux gâteaux 16 novembre 2019 de 15h à 19h Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : contact@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Budapest la Douce a le plaisir de vous proposer ses délicieux gâteaux hongrois le premier et le troisième samedi du mois de 15h à 19h à l’Institut Hongrois de Paris.
Venez retrouver les grandes classiques de la pâtisserie hongroise : beiglis aux pavots et aux noix, gerbeauds, strudels aux griottes, boules de coco, biscuits linzer, gâteaux aux pommes à la cannelle, flodnis, mignons et petits pogatchas au fromage. Dégustation sur place ou à emporter.
N’hésitez pas à commander vos gâteaux, vos tartes ou vos plats préférés jusqu’à jeudi midi (un minimum de commande est requis) par message au +33 6 19 17 74 47 ou par e-mail au budapestladouce@gmail.com ou par messenger sur notre page Facebook.
Informations : contact@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Budapest la Douce a le plaisir de vous proposer ses délicieux gâteaux hongrois le premier et le troisième samedi du mois de 15h à 19h à l’Institut Hongrois de Paris.
Venez retrouver les grandes classiques de la pâtisserie hongroise : beiglis aux pavots et aux noix, gerbeauds, strudels aux griottes, boules de coco, biscuits linzer, gâteaux aux pommes à la cannelle, flodnis, mignons et petits pogatchas au fromage. Dégustation sur place ou à emporter.
N’hésitez pas à commander vos gâteaux, vos tartes ou vos plats préférés jusqu’à jeudi midi (un minimum de commande est requis) par message au +33 6 19 17 74 47 ou par e-mail au budapestladouce@gmail.com ou par messenger sur notre page Facebook.
Libellés :
Institut hongrois,
Pâtisseries
Conférence et dégustation de vin -Tokaji, un vin de légende 28 novembre 2019 à 19h30 Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation indispensable: reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Réservation indispensable: reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
L’Aszú et ses arômes divins ont triomphé
sur les tables des cours européennes pendant des siècles. La région
emblématique de Tokaj est la plus ancienne appellation viticole
délimitée du monde, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de
l’Unesco depuis 2002. Pourquoi cette région, ses terroirs et ses vins
sont-ils considérés comme si extraordinaires ? Comment ses vignobles
ont-ils traversé les siècles mouvementés ? Quelles sont les aspirations
de ses viticulteurs aujourd’hui ?
Intervenante : Gabriella Orosz
Celle-ci sera suivie d’une dégustation commentée des cépages et assemblages typiques de la région.
Participation à la dégustation : 15€ dans la limite des places disponibles.
Participation à la dégustation : 15€ dans la limite des places disponibles.
Réservation pour la dégustation : Hongrie gourmande au 06 61 88 78 27 ou en ligne hongrie-gourmande.com
Entrée libre
Libellés :
Conférence,
Dégustation,
Institut hongrois,
Tokaji,
Vins
Cinéma - Junk Movie, réalisé par György Szomjas 26 novembre 2019 à 19h30 Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Instantané absurde évoquant la chute du communisme, du point de vue de ceux qui vivent aux marges de la société. Dans la rue Szigony et ses environs, des bagarres éclatent, les flammes s’allument dans des appartements tandis que le monde reste immobile. Des gens se rassemblent, se battent et rentrent chez eux. À grand renfort de dialogues décalés et d’humour visuel, le film fait un pied de nez à la fois à la vie et au monde du cinéma.
Séance présentée par Damien Marguet.
Entrée libre
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Roncsfilm, 1992, 90 min, VOSTFR
Instantané absurde évoquant la chute du communisme, du point de vue de ceux qui vivent aux marges de la société. Dans la rue Szigony et ses environs, des bagarres éclatent, les flammes s’allument dans des appartements tandis que le monde reste immobile. Des gens se rassemblent, se battent et rentrent chez eux. À grand renfort de dialogues décalés et d’humour visuel, le film fait un pied de nez à la fois à la vie et au monde du cinéma.
Séance présentée par Damien Marguet.
Entrée libre
Concert de MESZECSINKA rue des Berrichons et des Nivernais Sarrebourg 7 novembre 2019
"Concert de Meszecsinka, jeudi 7 novembre 2019, à 20h30, au centre
socioculturel, rue des Berrichons et des Nivernais. Meszecsinka est l’un
des douze meilleurs groupes world-music de Hongrie, selon le magazine
Dal+Szerző. Meszecsinka chante en sept langues, hongrois, espagnol,
russe, bulgare, finnois, italien, et sa propre langue. Les origines des
musiciens sont hongroises, bulgares, croates et polonaises… ils vous
conduiront au pays des merveilles, où le folklore bulgare et hongrois
cohabitent avec le flamenco et le psychédélisme. Oriental et
Expérimental. Tarif prévente : 7 € – 10 € le jour même. Prévente au Café
R, place du Marché à Sarrebourg." Source : unidivers.fr
Viktor Orban a incité Donald Trump à faire pression sur l’Ukraine
"Le président américain est ressorti conforté dans sa certitude à l’issue
d’un entretien avec le Premier ministre hongrois à la Maison Blanche,
le 13 mai dernier : c’est l’Ukraine, et non la Russie, qui a interféré
dans l’élection présidentielle." La suite sur lesoir.be (article payant)
La Banque centrale de Hongrie laisse inchangé son principal taux directeur
"La Banque centrale de Hongrie (MNB) a maintenu mardi sans surprise son
principal taux d'intérêt à 0,90 %. « L'orientation de la politique
monétaire restera accommodante et les coûts de financement des agents
économiques demeureront favorables », a de nouveau expliqué
l’institution dans un communiqué." La suite sur lefigaro.fr
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mardi 22 octobre 2019
1956: 63 ans déjà…
Par Pierre Waline
"A supposer qu'ils avaient alors à peine 20 ans, les combattants de 1956 ont aujourd'hui plus de 80 ans… Des journées qui, pour la grande majorité, relèvent donc davantage des manuels d´Histoire que du souvenir… Comment ces nouvelles générations abordent-elles cette période? Difficile à dire...
Pour ma part, né avec le baby boom d’après guerre, j’avais 10 ans. Un âge où les événements s’ancrent très profondément dans notre petit crâne pour ne plus en ressortir. Tel est le cas de ces journées d’octobre 1956 dont je garde encore un souvenir très vivant.
Premier souvenir qui me revient en mémoire: celui du retour dans la nuit de mon frère rentrant d’une manifestation devant le siège de l’Humanité et du Parti communiste. Autre souvenir qui nous avait marqués: le décès du photographe Jean-Pierre Pedrazzini et ses dernières photos parues dans Paris Match. Bien peu de choses, somme toute ? Mais non !.." La suite sur francianyelv.hu
"A supposer qu'ils avaient alors à peine 20 ans, les combattants de 1956 ont aujourd'hui plus de 80 ans… Des journées qui, pour la grande majorité, relèvent donc davantage des manuels d´Histoire que du souvenir… Comment ces nouvelles générations abordent-elles cette période? Difficile à dire...
Pour ma part, né avec le baby boom d’après guerre, j’avais 10 ans. Un âge où les événements s’ancrent très profondément dans notre petit crâne pour ne plus en ressortir. Tel est le cas de ces journées d’octobre 1956 dont je garde encore un souvenir très vivant.
Premier souvenir qui me revient en mémoire: celui du retour dans la nuit de mon frère rentrant d’une manifestation devant le siège de l’Humanité et du Parti communiste. Autre souvenir qui nous avait marqués: le décès du photographe Jean-Pierre Pedrazzini et ses dernières photos parues dans Paris Match. Bien peu de choses, somme toute ? Mais non !.." La suite sur francianyelv.hu
Politique - Les partis de la minorité hongroise s’unissent avant les élections slovaques de 2020
"Les partis de la minorité hongroise font liste commune : la formation Most-Hid du vice-président du Parlement Bela Bugar, le MKP de Jozsef Menyhart et les chrétiens-démocrates magyarophones du MKDSZ
ont décidé de se rassembler en vue des élections générales de fin
février prochain. Une initiative jugée foncièrement opportuniste à
Budapest comme à Bratislava.
Reconnaissance du magyar comme langue officielle, autonomie éducative et culturelle, rétablissement de la double citoyenneté, discrimination positive favorisant les minorités et les personnes issues des régions modestes, refonte de la police et du parquet afin de mieux endiguer la corruption et transparence électorale maximale : tels sont les souhaits de l’alliance formée par trois des principaux partis magyars de Slovaquie qui feront liste commune aux législatives de fin février 2020. La minorité hongroise, surtout présente dans le Sud, compte pour environ 10 % de la population du pays, estimée à 5 millions d’habitants." La suite sur courrierinternational.com
Reconnaissance du magyar comme langue officielle, autonomie éducative et culturelle, rétablissement de la double citoyenneté, discrimination positive favorisant les minorités et les personnes issues des régions modestes, refonte de la police et du parquet afin de mieux endiguer la corruption et transparence électorale maximale : tels sont les souhaits de l’alliance formée par trois des principaux partis magyars de Slovaquie qui feront liste commune aux législatives de fin février 2020. La minorité hongroise, surtout présente dans le Sud, compte pour environ 10 % de la population du pays, estimée à 5 millions d’habitants." La suite sur courrierinternational.com
Décès de la pianiste hongroise Márta Kurtág
"Márta Kurtág, pianiste hongroise, est décédée à l'âge de 92 ans. Le compositeur György Kurtág perd son épouse, sa compagne à quatre mains et son inspiration.
Márta Kurtág est née le 1er octobre 1927 à Esztergom en Hongrie. Elle a étudié le piano auprès de Leó Weiner et András Mihály avant d'enseigner, de 1953 à 1963, à l'École secondaire supérieure de musique Béla Bartók à Budapest. A partir de 1972, elle a formé les professeurs de l'école de musique Franz Liszt.
Elle a été pendant près de 60 ans la première interprète des œuvres de György Kurtág. Ils se produisaient d'ailleurs régulièrement en quatre mains avec au programme des transcriptions de chorales de Bach ainsi que des compositions de György Kurtág dont ses fameux Játékok. Depuis l'annonce du décès de Márta Kurtág, les hommages émus affluent sur les réseaux sociaux de la part de mélomanes qui ont eu la chance de les écouter aux Festival d'Automne et Festival le Piano aux Jacobins à Paris, au Théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence, à la Bibliothèque du Congrès à Washington, au Carnegie Hall de New York ou encore à la Tonhalle de Zurich." La suite sur francemusique.fr
Márta Kurtág est née le 1er octobre 1927 à Esztergom en Hongrie. Elle a étudié le piano auprès de Leó Weiner et András Mihály avant d'enseigner, de 1953 à 1963, à l'École secondaire supérieure de musique Béla Bartók à Budapest. A partir de 1972, elle a formé les professeurs de l'école de musique Franz Liszt.
Elle a été pendant près de 60 ans la première interprète des œuvres de György Kurtág. Ils se produisaient d'ailleurs régulièrement en quatre mains avec au programme des transcriptions de chorales de Bach ainsi que des compositions de György Kurtág dont ses fameux Játékok. Depuis l'annonce du décès de Márta Kurtág, les hommages émus affluent sur les réseaux sociaux de la part de mélomanes qui ont eu la chance de les écouter aux Festival d'Automne et Festival le Piano aux Jacobins à Paris, au Théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence, à la Bibliothèque du Congrès à Washington, au Carnegie Hall de New York ou encore à la Tonhalle de Zurich." La suite sur francemusique.fr
La Hongrie interdit une publicité Coca-Cola car elle « nuit au développement des enfants »
"Selon Gaytimes, la Hongrie a décidé de bannir les publicités de Coca-Cola mettant en scène des couples de même sexe.Nouveau rebondissement après la polémique créée par les publicités de
la célèbre boisson gazeuse cet été dans le pays. Selon nos confrères de
Gaytimes, la Hongrie a décidé de bannir les publicités du géant Coca-Cola mettant en scène des couples de même sexe.
Dans une lettre du Département de la protection du consommateur envoyée à Coca-Cola Hongrie, ce premier demande à la marque de « cesser toute publicité préjudiciable au développement physique, mental, émotionnel et moral des enfants et des mineurs ». On peut voir sur les visuels deux hommes, l’un passant ses bras autour de l’autre, qui porte une bouteille de la célèbre boisson gazeuse à ses lèvres. Des femmes sont aussi mises en scène avec le soda." La suite sur tetu.com
Dans une lettre du Département de la protection du consommateur envoyée à Coca-Cola Hongrie, ce premier demande à la marque de « cesser toute publicité préjudiciable au développement physique, mental, émotionnel et moral des enfants et des mineurs ». On peut voir sur les visuels deux hommes, l’un passant ses bras autour de l’autre, qui porte une bouteille de la célèbre boisson gazeuse à ses lèvres. Des femmes sont aussi mises en scène avec le soda." La suite sur tetu.com
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Argentan. Des jumelages avec Baja et Fajsz
"Istvan Tumo est citoyen d’honneur des villes de Trun et Fajsz, qui ont noué un jumelage. Quelque temps après qu’une initiative similaire a réuni Baja et Argentan.
Échaudé par les événements vécus dans sa jeunesse, Istvan Tumo écrit des livres en hongrois comme en français et s’adonne à la peinture paysagiste mais ne fait pas de politique. « Comme cela, je peux être ami avec tout le monde », tranche-t-il. C’est ainsi qu’à la Mic, celui qui a fui l’armée soviétique se lie d’amitié avec Roger Jouadé, pourtant communiste.
Une amitié telle que les deux hommes partent en vacances ensemble, en Hongrie. « Roger Jouadé était alors adjoint au maire d’Argentan, François Doubin. C’est lui qui lui a glissé l’idée d’un jumelage avec Baja. » En 1998, c’est chose faite." La suite sur ouest-france.fr
Échaudé par les événements vécus dans sa jeunesse, Istvan Tumo écrit des livres en hongrois comme en français et s’adonne à la peinture paysagiste mais ne fait pas de politique. « Comme cela, je peux être ami avec tout le monde », tranche-t-il. C’est ainsi qu’à la Mic, celui qui a fui l’armée soviétique se lie d’amitié avec Roger Jouadé, pourtant communiste.
Une amitié telle que les deux hommes partent en vacances ensemble, en Hongrie. « Roger Jouadé était alors adjoint au maire d’Argentan, François Doubin. C’est lui qui lui a glissé l’idée d’un jumelage avec Baja. » En 1998, c’est chose faite." La suite sur ouest-france.fr
La Bible de Péter Nádas
Premier roman de Péter Nádas paru en 1967, La Bible est un formidable
condensé des puissantes qualités romanesques de l'auteur. Comme dans les
longs chefs-d'oeuvre qu'il écrira vingt ou trente ans plus tard (La fin
d'un roman de famille ou Histoires parallèles, par exemple), on
retrouve ce mélange unique d'ironie, de tension sexuelle, de violence et
de descriptions.
En une soixantaine de pages, Péter Nádas esquisse le tableau d'une enfance dans la Hongrie d'avant 1956 en même temps qu'il offre à son lecteur une merveille de court roman cruel et réduit à l'essentiel : quelques scènes, un quasi huis clos, trois personnages principaux.
Traduit notamment en allemand, ce premier roman donne à voir un autre Péter Nádas, effacé depuis par le statut de géant des lettres contemporaines et d'auteur prolixe habitué aux fresques de plus de 1000 pages.
Traduction : Marc Martin
En une soixantaine de pages, Péter Nádas esquisse le tableau d'une enfance dans la Hongrie d'avant 1956 en même temps qu'il offre à son lecteur une merveille de court roman cruel et réduit à l'essentiel : quelques scènes, un quasi huis clos, trois personnages principaux.
Traduit notamment en allemand, ce premier roman donne à voir un autre Péter Nádas, effacé depuis par le statut de géant des lettres contemporaines et d'auteur prolixe habitué aux fresques de plus de 1000 pages.
Traduction : Marc Martin
- Date de parution : 03/10/2019
- Format : 11 x 17 cm, 128 p., 13,00 EUR €
- ISBN 978-2-7529-1203-9
lundi 21 octobre 2019
« Plantoculus / Main Verte » - Installation plastique et sonore aux Serres de Mandres-les-Roses du 15 octobre au 15 novembre 2019
Du 15 octobre au 15 novembre 2019, les Serres de production florale et arboricole de GPSEA vous invitent à découvrir Plantoculus / Main Verte.
Cette installation plastique et sonore créée par Catherine NYEKI en collaboration avec Marc Denjean et Nika Abdollahi est organisée dans le cadre de la 8ème édition du festival « la science de l’art » portée par le collectif culture Essonne, ayant pour thématique « wood wide web, l’intelligence des plantes en question ». L’immersion dans cette œuvre s’inscrit dans une visite guidée des Serres de Mandres-les-Roses (groupes de
25 personnes maximum pour chaque visite).
Visite tous les mardis et mercredis et le samedi 26 octobre après-midi (visites à 14h et 15h15)
Finissage de l’installation le mercredi 13 novembre de 16h à 20h
Réservation obligatoire au 01 41 94 31 38 ou par email sbizet@gpsea.frFinissage de l’installation le mercredi 13 novembre de 16h à 20h
Serres de production florale et arboricole GPSEA
Domaine de Roseval
12, rue Auguste Dupin – 94520 Mandres-les-roses
En voiture depuis Paris : par la N19, sortie Villecresnes centreDomaine de Roseval
12, rue Auguste Dupin – 94520 Mandres-les-roses
Transports en commun :
RER D arrêt YERRES / Bus 1 direction collège la Guinette changer à Mairie pour le bus 23 direction BRIE COMTE ROBERT arrêt Croix Rouge situé à 0.5 km
RER A arrêt BOISSY SAINT LEGER / Bus 23 direction BRIE COMTE ROBERT arrêt Croix Rouge situé à 0.5 km.
Télécharger le plan d’accès
Le festival Art et Sciences
A la croisée entre Art et Sciences, le festival « la science de l’art » à Mandres-les Roses propose des œuvres issues de la réflexion croisée entre un artiste (Catherine Nyeki) et un scientifique ( Nika Abdollahi : doctorante en bioinformatique et modélisation, CNRS/Sorbonne Université).
Installée dans la Serre de l’Orangerie, Plantoculus propose de découvrir les plantes imaginaires Orgagènes et Brins d’hélices en immersion dans 30 puits sonores à la fois musicaux et vocaux inspirés par les dernières hypothèses scientifiques développées dans le livre de Stefano Mancuso «La révolution des plantes», notamment celle à propos de la capacité de «vision perception captation» des végétaux mais aussi autour des questions de génétique et de bio-informatique. Cette œuvre s’inscrit dans une visite guidée du centre horticole de Mandres-les-Roses.
« Plantoculus » dans la serre de l’Orangerie
« Plantoculus » s’intègre dans une serre dite d’orangerie de 700 m2, destinée à hiverner tous les végétaux frileux en attente de replantage dans les villes au printemps (bananier, papyrus…). Elle abrite également de nombreuses plantes vertes allant du simple ficus aux orchidées en passant par des plantes épiphytes destinées à la décoration des locaux et/ou des manifestations. Sur l’ensemble du site de production (1,6 ha de serres), près de 13 personnes produisent en ce moment même environ 280000 bisannuelles issues à 80% de semis réalisés sur place cet été et 4000 chrysanthèmes. à partir du 15 octobre, l’équipe préparera les commandes et les livraisons destinés au fleurissement automne/hiver 2019. C’est le moment de vous plonger dans cet univers particulier !
PLANTOCULUS - MAIN VERTE
Si une occasion exceptionnelle de coupler la visite d’une « Pépinière sonore » un incubateur sous serre d’une botanique parallèle à hypothèses scientifiques dans une orangerie à celle des grandes serres horticoles de Mandres-les-Roses située
non loin de Paris vous tente, je me ferais un plaisir de vous y
accueillir et de vous faire une visite, je serais sur place aux dates
indiquées dans le flyer.
IMPORTANT ! La
réservation est obligatoire car ce site est un lieu de production de
plantes avec pour possibilité un maximum de 25 personnes par visite.
Bien cordialement.
Catherine Nyeki
Quand Emmanuel Macron et Viktor Orban se rapprochent
"Naguère ennemis idéologiques, les deux dirigeants se sont longuement entretenus à l’Elysée, pour constater leurs désaccords mais aussi de nombreux points communs.
Les faits - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a rencontré, vendredi 11 octobre à Paris, le président Emmanuel Macron. « Nos points de vue sont très proches sur le besoin de défendre les frontières, le besoin d’avoir une armée européenne commune », a déclaré Viktor Orban aux côtés du Président français. Le chef de l’Etat a promis de se rendre en visite officielle à Budapest avant la fin de son mandat.
Manifestement, les deux hommes avaient des choses à se dire. Prévu pour durer une heure, le déjeuner entre Emmanuel Macron et Viktor Orban, vendredi 11 octobre à l’Elysée, s’est prolongé tard dans l’après-midi. C’était la première véritable rencontre en tête-à-tête entre le président de la République et le Premier ministre hongrois. L’Elysée avait lancé l’invitation cinq jours auparavant et Orban a fait le voyage de Paris. Il y a encore quelques mois, les deux dirigeants incarnaient les deux pôles de la politique européenne, le « progressiste européen » face au « populiste illibéral ». Depuis lors, beaucoup d’eau semble avoir coulé sous les ponts de la Seine et du Danube." La suite sur lopinion.fr (article payant)
Les faits - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a rencontré, vendredi 11 octobre à Paris, le président Emmanuel Macron. « Nos points de vue sont très proches sur le besoin de défendre les frontières, le besoin d’avoir une armée européenne commune », a déclaré Viktor Orban aux côtés du Président français. Le chef de l’Etat a promis de se rendre en visite officielle à Budapest avant la fin de son mandat.
Manifestement, les deux hommes avaient des choses à se dire. Prévu pour durer une heure, le déjeuner entre Emmanuel Macron et Viktor Orban, vendredi 11 octobre à l’Elysée, s’est prolongé tard dans l’après-midi. C’était la première véritable rencontre en tête-à-tête entre le président de la République et le Premier ministre hongrois. L’Elysée avait lancé l’invitation cinq jours auparavant et Orban a fait le voyage de Paris. Il y a encore quelques mois, les deux dirigeants incarnaient les deux pôles de la politique européenne, le « progressiste européen » face au « populiste illibéral ». Depuis lors, beaucoup d’eau semble avoir coulé sous les ponts de la Seine et du Danube." La suite sur lopinion.fr (article payant)
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Hongrie le combat pour préserver la démocratie
"Inspiré par Vladimir Poutine, le gouvernement nationaliste
et conservateur de Viktor Orban érode graduellement les contre-pouvoirs
en Hongrie.
Michael Ignatieff a passé une bonne partie de sa carrière à réfléchir et écrire sur le nationalisme, mais aujourd’hui, il se doit de le combattre. L’Université d’Europe centrale (UEC), que l’ancien chef du Parti libéral du Canada dirige, est expulsée de Hongrie par le gouvernement dirigé par Viktor Orban. Au fil des ans, l’établissement est devenu le symbole de tout ce que déteste le premier ministre d’extrême droite : le libéralisme.
Les couloirs de l’université, située en plein cœur du centre-ville de Budapest, sont presque vides. Déjà, près de la moitié des étudiants ont commencé le semestre d’automne en Autriche et la plupart des activités y seront délocalisées d’ici l’an prochain. « C’est ce que nous représentons qu’il [Orban] n’aime pas », affirme Michael Ignatieff, qui est venu s’installer à Budapest avec sa femme, d’origine hongroise, pour y diriger l’UEC en 2016." La suite sur lapresse.ca
Michael Ignatieff a passé une bonne partie de sa carrière à réfléchir et écrire sur le nationalisme, mais aujourd’hui, il se doit de le combattre. L’Université d’Europe centrale (UEC), que l’ancien chef du Parti libéral du Canada dirige, est expulsée de Hongrie par le gouvernement dirigé par Viktor Orban. Au fil des ans, l’établissement est devenu le symbole de tout ce que déteste le premier ministre d’extrême droite : le libéralisme.
Les couloirs de l’université, située en plein cœur du centre-ville de Budapest, sont presque vides. Déjà, près de la moitié des étudiants ont commencé le semestre d’automne en Autriche et la plupart des activités y seront délocalisées d’ici l’an prochain. « C’est ce que nous représentons qu’il [Orban] n’aime pas », affirme Michael Ignatieff, qui est venu s’installer à Budapest avec sa femme, d’origine hongroise, pour y diriger l’UEC en 2016." La suite sur lapresse.ca
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Hongrie: le nouveau maire écologiste de Budapest bouscule le puissant parti d’Orbán
"Gergely Karácsony revient sur sa victoire surprise et esquisse ses cinq prochaines années à la tête de la capitale hongroise.
J’espère que dans cinq ans, Budapest sera une ville un peu plus solidaire et écologique ». La feuille de route de Gergely Karácsony, le nouveau bourgmestre de la capitale hongroise, indique ses couleurs : le vert et le rouge. Élu le 13 octobre, ce candidat écologiste de gauche est parvenu à terrasser le bourgmestre sortant soutenu par le parti national-conservateur Fidesz de Viktor Orbán, et longtemps donné favori." La suite sur lesoir.be (article payant)
J’espère que dans cinq ans, Budapest sera une ville un peu plus solidaire et écologique ». La feuille de route de Gergely Karácsony, le nouveau bourgmestre de la capitale hongroise, indique ses couleurs : le vert et le rouge. Élu le 13 octobre, ce candidat écologiste de gauche est parvenu à terrasser le bourgmestre sortant soutenu par le parti national-conservateur Fidesz de Viktor Orbán, et longtemps donné favori." La suite sur lesoir.be (article payant)
dimanche 20 octobre 2019
La Hongrie dopée à coups d’" Orbanomics "
"Le 13 octobre, le Fidesz a perdu la municipalité de Budapest : un revers
historique pour le parti du Premier ministre. Pour s’assurer une
victoire aux législatives de 2020, il compte plus que jamais sur ses
succès économiques.
Fin de série pour Viktor Orban. Après avoir remporté les neuf derniers scrutins - dont trois législatives - depuis son retour au pouvoir en 2010, le chef du gouvernement hongrois a encaissé son premier revers lors des élections municipales du dimanche 13 octobre : son parti, le Fidesz, a été battu à Budapest. Capable de résister au feu des critiques sur ses réformes institutionnelles jugées liberticides, sa main mise sur les médias et son refus d’accueillir le moindre migrant, Orban semblait jusqu’à présent indéboulonnable.
Certes, la perte de la capitale est un coup dur pour le leader du Fidesz. Mais le Parti nationaliste conservateur conserve le contrôle de la majorité des grandes villes et préserve sa suprématie dans les zones rurales. Et le chef du gouvernement compte plus que jamais sur la poursuite du boom économique de son pays pour s’assurer une victoire aux législatives de 2022.
Dumping fiscal et social
Quand, en 2010, Orban redevient Premier ministre, ce pays de 10 millions d’habitants, qui a subi de plein fouet la crise financière de 2008, est en piteux état. Au pic de la récession (contraction du PIB de 6,8 % en 2011), la dette publique dépasse les 80 % du PIB et le déficit budgétaire tourne autour des 7 %. Huit ans plus tard, la croissance dépasse 5 % par an, ce qui la situe parmi les meilleurs élèves de l’Europe, et le taux de chômage est passé de 11 à… 3,7 %. « Lorsque nous avons mis en place notre politique économique qualifiée de non-orthodoxe, beaucoup n’y croyaient pas », se souvient Andras Laszlos, ministre de l’Innovation et des Technologies." La suite sur challenges.fr (article payant)
Fin de série pour Viktor Orban. Après avoir remporté les neuf derniers scrutins - dont trois législatives - depuis son retour au pouvoir en 2010, le chef du gouvernement hongrois a encaissé son premier revers lors des élections municipales du dimanche 13 octobre : son parti, le Fidesz, a été battu à Budapest. Capable de résister au feu des critiques sur ses réformes institutionnelles jugées liberticides, sa main mise sur les médias et son refus d’accueillir le moindre migrant, Orban semblait jusqu’à présent indéboulonnable.
Certes, la perte de la capitale est un coup dur pour le leader du Fidesz. Mais le Parti nationaliste conservateur conserve le contrôle de la majorité des grandes villes et préserve sa suprématie dans les zones rurales. Et le chef du gouvernement compte plus que jamais sur la poursuite du boom économique de son pays pour s’assurer une victoire aux législatives de 2022.
Dumping fiscal et social
Quand, en 2010, Orban redevient Premier ministre, ce pays de 10 millions d’habitants, qui a subi de plein fouet la crise financière de 2008, est en piteux état. Au pic de la récession (contraction du PIB de 6,8 % en 2011), la dette publique dépasse les 80 % du PIB et le déficit budgétaire tourne autour des 7 %. Huit ans plus tard, la croissance dépasse 5 % par an, ce qui la situe parmi les meilleurs élèves de l’Europe, et le taux de chômage est passé de 11 à… 3,7 %. « Lorsque nous avons mis en place notre politique économique qualifiée de non-orthodoxe, beaucoup n’y croyaient pas », se souvient Andras Laszlos, ministre de l’Innovation et des Technologies." La suite sur challenges.fr (article payant)
Décès du poète Lorand Gaspar - Biographie
"Le poète Lorand Gaspar est mort le 9 octobre 2019 à Paris. Il était
âgé de 94 ans. Atteint de la maladie d’Alzheimer depuis de nombreuses
années, il n’a jamais perdu son sourire, avec lequel il accueillait ses
visiteurs.
Lorand Gaspar, chirurgien, poète et photographe : un parcours et une œuvre à la croisée des cultures, des langues et des disciplines
Lorand Gaspar a mené de front ses différentes activités, de médecin, d’écrivain, de traducteur et de photographe, en circulant sans cesse entre les multiples formes et voix du vivant, sans établir de hiérarchie entre elles. Défendant une médecine humaniste et refusant la séparation corps-esprit, il a publié une œuvre poétique majeure où il fait partager son émerveillement devant le désert et la mer, le mouvement des vagues ou des oiseaux aussi bien que la machinerie complexe du corps humain." La suite sur fabula.org
Lorand Gaspar, chirurgien, poète et photographe : un parcours et une œuvre à la croisée des cultures, des langues et des disciplines
Lorand Gaspar a mené de front ses différentes activités, de médecin, d’écrivain, de traducteur et de photographe, en circulant sans cesse entre les multiples formes et voix du vivant, sans établir de hiérarchie entre elles. Défendant une médecine humaniste et refusant la séparation corps-esprit, il a publié une œuvre poétique majeure où il fait partager son émerveillement devant le désert et la mer, le mouvement des vagues ou des oiseaux aussi bien que la machinerie complexe du corps humain." La suite sur fabula.org
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Plouider - Bálint Thuróczy expose ses photographies en mairie
"Chaque photographie est pour lui la marque indélébile
d’une rencontre, entre émotion et témoignage. L’auteur photographe fait
partager ses émotions en toute liberté.
La commune réussit encore une fois le pari de proposer une exposition de très grande qualité en mairie.Bálint Thuróczy est né à Budapest, en Hongrie, en 1943. Jeune conférencier en chimie organique appliquée, marié à une Française, on lui demande d’adhérer au Parti communiste en 1973. Il refuse et, à 30 ans, il quitte son pays. Après une expérience au Canada, c’est en France qu’il revient, d’abord en tant que photographe puis menant une carrière brillante dans l’informatique. Il se souvient encore de son premier appareil photo : « C’était un Zorkij, une copie russe aux faux airs de Leica. »" La suite sur ouest-france.fr
samedi 19 octobre 2019
Gergely Karácsony : « En tant que maire, je veux que Budapest devienne plus solidaire et écologique »
"Cinq jours après une victoire majeure de l'opposition contre le Fidesz
de Viktor Orbán à Budapest, son maire élu, Gergely Karácsony, a reçu Le
Courrier d'Europe centrale pour un entretien exclusif. Propos recueillis
par Ludovic Lepeltier-Kutasi.
À l’occasion des élections municipales, dimanche 13 octobre, Gergely Karácsony a battu le candidat du pouvoir, le maire sortant István Tarlós. Ce sociologue de 44 ans, chef de file du petit parti écologiste de gauche « Párbeszéd » et maire du quatorzième arrondissement de la capitale, a pris officiellement ses fonctions de maire de la capitale pour les cinq prochaines années. Quelles ont été les conditions de sa victoire ? Quel espoir fait-elle naître pour les opposants à Viktor Orbán ? Que compte-t-il faire pour Budapest ? La nouvelle figure de proue de l’opposition hongroise a répondu à nos questions lors d’un entretien d’une demi-heure, vendredi après-midi dans un café du treizième arrondissement . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
À l’occasion des élections municipales, dimanche 13 octobre, Gergely Karácsony a battu le candidat du pouvoir, le maire sortant István Tarlós. Ce sociologue de 44 ans, chef de file du petit parti écologiste de gauche « Párbeszéd » et maire du quatorzième arrondissement de la capitale, a pris officiellement ses fonctions de maire de la capitale pour les cinq prochaines années. Quelles ont été les conditions de sa victoire ? Quel espoir fait-elle naître pour les opposants à Viktor Orbán ? Que compte-t-il faire pour Budapest ? La nouvelle figure de proue de l’opposition hongroise a répondu à nos questions lors d’un entretien d’une demi-heure, vendredi après-midi dans un café du treizième arrondissement . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Viktor Orbán… glorieux descendant d´Attila?
Par Pierre Waline
"Savez-vous qui étaient les „Kiptchaks” ? A ma honte, j´avoue personnellement l´avoir ignoré jusqu'ici… Jusqu'au jour où, assistant récemment à Bakou au Conseil turcique (Conseil des États turcophones), le Premier ministre hongrois a transmis aux membres présents le „salut de leurs frères kiptchaks de Budapest”. Était-ce de l´humour ou, plus vraisemblable, était-ce à demi sérieux ? En tous les cas, voilà qui prête à sourire et, comme l´on pourra aisément l´imaginer, fait ici l´objet de plaisanteries diverses, du moins chez les mauvais esprits.
Les Kiptchaks: anciennes tribus turcophones semi-nomades, allias Coumans, qui, venues de Sibérie, eurent leur heure de gloire. Plus ou moins apparentées entre autres aux Tatars. Et, de loin, aux Huns d´Attila. Quant au Conseil des États turcs (Groupe turcique, Türk Keneşi en turc), il a été mis en place voici quelques années pour rassembler, aux côtés de la Turquie, les peuples de l´Azerbaïdjan, du Kazakhstan, du Kirghizistan et de l´Ouzbékistan. Groupe auquel la Hongrie s´est jointe en tant qu'État observateur." La suite sur francianyelv.hu
"Savez-vous qui étaient les „Kiptchaks” ? A ma honte, j´avoue personnellement l´avoir ignoré jusqu'ici… Jusqu'au jour où, assistant récemment à Bakou au Conseil turcique (Conseil des États turcophones), le Premier ministre hongrois a transmis aux membres présents le „salut de leurs frères kiptchaks de Budapest”. Était-ce de l´humour ou, plus vraisemblable, était-ce à demi sérieux ? En tous les cas, voilà qui prête à sourire et, comme l´on pourra aisément l´imaginer, fait ici l´objet de plaisanteries diverses, du moins chez les mauvais esprits.
Les Kiptchaks: anciennes tribus turcophones semi-nomades, allias Coumans, qui, venues de Sibérie, eurent leur heure de gloire. Plus ou moins apparentées entre autres aux Tatars. Et, de loin, aux Huns d´Attila. Quant au Conseil des États turcs (Groupe turcique, Türk Keneşi en turc), il a été mis en place voici quelques années pour rassembler, aux côtés de la Turquie, les peuples de l´Azerbaïdjan, du Kazakhstan, du Kirghizistan et de l´Ouzbékistan. Groupe auquel la Hongrie s´est jointe en tant qu'État observateur." La suite sur francianyelv.hu
Concert du «Cantemus children's choir» le 8 décembre 2019 à 17h00 église Saint-Maurice à Orschwiller (67)
"Chorale hongroise dirigée par Dénes Szabó dans le cadre des Noëlies
Le chœur Cantemus children's choir est composé de grands élèves de l’école Zoltán Kodály de Nyiregyháza en Hongrie. Il est placé sous la direction de Dénes Szabó, qui met en œuvre les méthodes d’enseignement de la musique élaborées par le compositeur Kodály. Depuis sa fondation en 1975, cette chorale a été lauréate de plusieurs prix internationaux, et a beaucoup voyagé pour participer à des festivals à travers le monde : en Australie, au Canada, au Japon, en Corée, en Amérique du Sud et aux États-Unis d’Amérique. Cantemus est un porte-drapeau de la musique hongroise traditionnelle et contemporaine." Source et informations complémentaires sur dna.fr
Le chœur Cantemus children's choir est composé de grands élèves de l’école Zoltán Kodály de Nyiregyháza en Hongrie. Il est placé sous la direction de Dénes Szabó, qui met en œuvre les méthodes d’enseignement de la musique élaborées par le compositeur Kodály. Depuis sa fondation en 1975, cette chorale a été lauréate de plusieurs prix internationaux, et a beaucoup voyagé pour participer à des festivals à travers le monde : en Australie, au Canada, au Japon, en Corée, en Amérique du Sud et aux États-Unis d’Amérique. Cantemus est un porte-drapeau de la musique hongroise traditionnelle et contemporaine." Source et informations complémentaires sur dna.fr
Télé.DikhTV, la petite chaîne rom de Hongrie qui voit de plus en plus grand
"Lancée avec peu de moyens, la première chaîne rom de Hongrie ambitionne de séduire la population tzigane et de “créer des ponts” au-delà de la communauté.
Elek Balogh n’osait pas y croire, mais son rêve est devenu réalité. Depuis début septembre, plusieurs bouquets de chaînes câblées hongroises proposent à leurs clients un accès à DikhTV, la première chaîne rom du pays, fondée par cette figure de la communauté tzigane de Budapest. Mêlant politique, cuisine et divertissement, le canal aux dix salariés, dont les studios se trouvent à Kispest, au sud-est de la capitale danubienne, cible les 8 % de Roms composant la population magyare.
“Sur les Roms, mais pas que pour les Roms”
“Aujourd’hui, Balogh, né au sein d’une famille modeste de l’est du pays, peut payer convenablement ses employés." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
Elek Balogh n’osait pas y croire, mais son rêve est devenu réalité. Depuis début septembre, plusieurs bouquets de chaînes câblées hongroises proposent à leurs clients un accès à DikhTV, la première chaîne rom du pays, fondée par cette figure de la communauté tzigane de Budapest. Mêlant politique, cuisine et divertissement, le canal aux dix salariés, dont les studios se trouvent à Kispest, au sud-est de la capitale danubienne, cible les 8 % de Roms composant la population magyare.
“Sur les Roms, mais pas que pour les Roms”
“Aujourd’hui, Balogh, né au sein d’une famille modeste de l’est du pays, peut payer convenablement ses employés." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
vendredi 18 octobre 2019
Cinéma : Le Vautour, réalisé par Ferenc András 20 novembre 2019 à 19h30 - Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Littérature et cinéma en Hongrie (1949-2000) : Passages, résonances, surgissements
Dögkeselyű de Ferenc András - 1982 - 135 min, VOSTFR
Ce cycle propose de questionner l’adaptation cinématographique d’œuvres littéraires en Hongrie à partir de 1949 et jusqu’au début des années 2000. Explorant trois périodes historiques (empire austro-hongrois, Seconde Guerre mondiale, période communiste), les films présentés cette année sont l’occasion d’interroger l’enjeu du temps historique au cinéma. Dans quelle mesure, à partir de récits littéraires, les cinéastes poétisent-ils l’Histoire, entremêlant dans le présent du film le temps d’avant et le « temps d’après » (J. Rancière) ? Cycle conçu et animé par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu Lericq.
Tiré du célèbre roman de Miklós Munkácsi intitulé Le défi [Kihívás] publié en 1981, Le Vautour contient tous les codes du thriller. S’inscrivant dans le contexte de la Hongrie socialiste des années 1980, il raconte les exactions d’un chauffeur de taxi et décrit l’univers de la police. Étudiant un mal qui ronge la société de l’intérieur, le film défait l’argumentaire selon lequel le péché viendrait de l’étranger. Il est présenté en compétition au Festival de Berlin en 1983.
Séance présentée par Mathieu Lericq.
Entrée libre
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Littérature et cinéma en Hongrie (1949-2000) : Passages, résonances, surgissements
Dögkeselyű de Ferenc András - 1982 - 135 min, VOSTFR
Ce cycle propose de questionner l’adaptation cinématographique d’œuvres littéraires en Hongrie à partir de 1949 et jusqu’au début des années 2000. Explorant trois périodes historiques (empire austro-hongrois, Seconde Guerre mondiale, période communiste), les films présentés cette année sont l’occasion d’interroger l’enjeu du temps historique au cinéma. Dans quelle mesure, à partir de récits littéraires, les cinéastes poétisent-ils l’Histoire, entremêlant dans le présent du film le temps d’avant et le « temps d’après » (J. Rancière) ? Cycle conçu et animé par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu Lericq.
Tiré du célèbre roman de Miklós Munkácsi intitulé Le défi [Kihívás] publié en 1981, Le Vautour contient tous les codes du thriller. S’inscrivant dans le contexte de la Hongrie socialiste des années 1980, il raconte les exactions d’un chauffeur de taxi et décrit l’univers de la police. Étudiant un mal qui ronge la société de l’intérieur, le film défait l’argumentaire selon lequel le péché viendrait de l’étranger. Il est présenté en compétition au Festival de Berlin en 1983.
Séance présentée par Mathieu Lericq.
Entrée libre
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Raoul Wallenberg, un Juste suédois toujours disparu
"Près de soixante-quinze ans après la disparition du diplomate suédois,
déclaré Juste parmi les nations, ses proches exigent que Stockholm
s’active pour découvrir la vérité sur les circonstances de sa
disparition et de sa mort.
Quand elle voyage, Marie von Dardel-Dupuy
n’utilise jamais son passeport suédois, le pays de sa naissance, mais
celui de sa patrie d’adoption, la Suisse. Celle qui poursuit, avec sa
sœur et leur mère, l’éreintante quête de la vérité, entamée par ses
grands-parents, en 1945, puis menée par son père, le physicien Guy von
Dardel, jusqu’à sa mort, en 2009, n’a pas de mots trop durs pour
dénoncer la « trahison » de Stockholm à l’égard de sa famille et de son oncle Raoul Wallenberg.
Près
de soixante-quinze ans après la disparition du diplomate suédois, qui a
sauvé des dizaines de milliers de juifs hongrois, à la fin de la
seconde guerre mondiale, ses proches ignorent toujours les circonstances
de sa mort. Seule certitude : le 17 janvier 1945, Raoul Wallenberg est
monté à bord d’une voiture, conduite par son chauffeur, direction
Debrecen, à 240 km de la capitale hongroise, pour y rencontrer un
commandant de l’Armée rouge. Il n’a plus jamais donné signe de vie.
Une incertitude insoutenable
Est-il
mort d’une crise cardiaque en détention, le 17 juillet 1947, comme
l’affirme Moscou depuis 1957 ? A-t-il survécu, au contraire, et passé
des jours, des mois ou peut être des années, derrière les barreaux ?
Pour Marie von Dardel-Dupuy, l’incertitude est insoutenable : « Prenez
un noyé. On ne retrouve pas son corps, mais sa famille sait plus ou
moins ce qui a causé sa mort. Nous, nous vivons dans l’ignorance. Et le
pire est l’énorme sentiment d’injustice que nous éprouvons face à la
passivité des autorités suédoises, qui pose des questions
supplémentaires. »
En
novembre, elle retournera à Stockholm, accompagnée de Susanne Berger,
l’historienne américaine qui suit l’affaire depuis vingt ans, pour
consulter les 40 000 pages d’archives que la Suède a finalement décidé
de déclassifier, en septembre, sous la pression de la famille. « C’est un bon début, constate Susanne Berger. Mais ce n’est pas suffisant. » Car 250 000 documents n’ont pas été rendus publics, et la Russie continue de faire obstruction.
Au
cœur du mystère : l’identité du prisonnier numéro sept, détenu à la
prison de Loubianka, l’été 1947, dont des responsables des archives du
FSB, les services de sécurité russe, ont affirmé, en 2009, qu’il
s’agissait « selon toute vraisemblance de Raoul Wallenberg ».
Or, ce prisonnier a subi un interrogatoire de seize heures et demie, le
23 juillet 1947, en même temps que le chauffeur du diplomate suédois.
Officiellement pourtant, Raoul Wallenberg était mort six jours plus tôt…" La suite sur lemonde.fr (article payant)
L’orgie sexuelle qui a brièvement grippé la machinerie du pouvoir de Viktor Orban
Le maire de la ville de Györ, membre du parti du premier ministre
hongrois, a été pris dans un scandale dont peu de responsables
politiques arriveraient à se relever.
Le parti de Viktor Orban a trouvé le
coupable. Il s’appelle Zsolt Borkai et il est maire de Györ, prospère
ville industrielle de l’ouest de la Hongrie.
Lundi 14
et mardi 15 octobre, les officiels du Fidesz, la formation du premier
ministre ultraconservateur, se sont succédé pour faire porter à cet
ancien gymnaste de 54 ans, médaille d’or du cheval d’arçons en 1988 aux
Jeux olympiques de Séoul, la responsabilité du revers électoral
historique subi aux élections municipales de dimanche.
« Zsolt
Borkai a remporté une médaille d’or en 1988, mais il a maintenant
permis aux candidats libéraux de gauche de remporter la médaille d’or
dans trois à cinq arrondissements de Budapest et dans deux grandes
villes », a ainsi fustigé Gergely Gulyás, chef de cabinet de M. Orban. L’opposition a remporté sept grandes villes, dont Budapest.
Il faut dire que l’édile, également
ancien président du comité olympique hongrois, a été pris dans un
scandale dont peu de responsables politiques européens arriveraient à se
relever. Le 4 octobre, dix jours avant le scrutin, des enregistrements
vidéo compromettants du maire, élu sans discontinuer depuis 2006 à la
tête de cette ville de 130 000 habitants, sont mis en ligne sur la
plate-forme Pornhub par un blogueur anonyme. On y voit Zsolt Borkai se
livrer à une véritable orgie sur un yacht au large des côtes croates.
Sans filtres, les images montrent le respectable père de famille en
pleine action avec des prostituées dans un décor de bouteilles d’alcool
et de cocaïne.
Sexe, drogue et corruptionLa suite sur lemonde.fr (article payant)
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Après la perte de Budapest, le Fidesz s’en prend aux électeurs étrangers
"La presse pro-Fidesz n'a pas tardé à trouver son bouc-émissaire après
la perte de Budapest, dimanche aux élections municipales. Selon elle,
ce sont les étrangers qui se sont ligués contre Viktor Orbán.
Dans les journaux « Magyar Hírlap » et « Demokrata », dans le tabloïd gratuit « Lokal », sur les sites de la fachosphère pro-Fidesz (Pesti Sracok, Origo.hu...), partout le même message : si le candidat du Fidesz, István Tarlós, a été battu par le candidat des « anti-Fidesz », Gergely Karácsony, c'est parce que ce dernier a reçu le soutien des étrangers vivant dans la capitale hongroise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Dans les journaux « Magyar Hírlap » et « Demokrata », dans le tabloïd gratuit « Lokal », sur les sites de la fachosphère pro-Fidesz (Pesti Sracok, Origo.hu...), partout le même message : si le candidat du Fidesz, István Tarlós, a été battu par le candidat des « anti-Fidesz », Gergely Karácsony, c'est parce que ce dernier a reçu le soutien des étrangers vivant dans la capitale hongroise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Et pourquoi ne pas aller passer quelques jours au Lac Balaton ?
"Ce lac que l’on surnomme « la mer hongroise » est une destination touristique très prisée et un paradis pour des vacances en Hongrie.Situé
à seulement 100 kilomètres de Budapest et plus grand lac d’Europe
Centrale, vous pourrez venir en profiter car il pourra satisfaire un
large public : les adeptes de randonnées, d’activités nautiques,
d’activités sportives, les amateurs de détente ou les personnes
intéressées par l’œnologie pourront très vite adorer cette région et ce
lac.
Et ses dimensions sont plutôt impressionnantes" La suite sur lepetitjournal.com
Et ses dimensions sont plutôt impressionnantes" La suite sur lepetitjournal.com
jeudi 17 octobre 2019
Ces journalistes hongrois qui ne veulent pas se taire
"Licenciés, les journalistes d'un journal hongrois critique créent le leur.
Les journalistes en voient de toutes les couleurs dans la Hongrie de Viktor Orbán.
La Hongrie est aujourd'hui au 73ème rang sur les 180 pays évalués dans le classement mondial de la liberté de la presse de Reporters sans frontières, et a reculé de 50 places depuis que Orbán et son parti Fidesz ont pris pour la première fois le pouvoir en 2010. Dans les trois dernières années, le pays a perdu deux de ses principaux quotidiens. Le 8 octobre 2016, les nouveaux propriétaires autrichiens de Népszabadság ont brusquement annoncé que cette populaire publication de gauche avait été fermée à cause de mauvaises ventes. Les journalistes venus au travail se trouvèrent devant des portes closes. Comme le journal avait un des plus forts tirages du pays, les observateurs ne mirent pas longtemps à suggérer que sa fermeture avait été coordonnée avec le Fidesz." La suite sur globalvoices.org
Les journalistes en voient de toutes les couleurs dans la Hongrie de Viktor Orbán.
La Hongrie est aujourd'hui au 73ème rang sur les 180 pays évalués dans le classement mondial de la liberté de la presse de Reporters sans frontières, et a reculé de 50 places depuis que Orbán et son parti Fidesz ont pris pour la première fois le pouvoir en 2010. Dans les trois dernières années, le pays a perdu deux de ses principaux quotidiens. Le 8 octobre 2016, les nouveaux propriétaires autrichiens de Népszabadság ont brusquement annoncé que cette populaire publication de gauche avait été fermée à cause de mauvaises ventes. Les journalistes venus au travail se trouvèrent devant des portes closes. Comme le journal avait un des plus forts tirages du pays, les observateurs ne mirent pas longtemps à suggérer que sa fermeture avait été coordonnée avec le Fidesz." La suite sur globalvoices.org
Lorand Gaspar, le poète que Georges Perros appelait « Lorand d’Arabie », est mort
"Le poète franco-hongrois de « Patmos » et de « Gisements » est mort, ce 9 octobre 2019, à 94 ans. Une belle Correspondance témoigne de son amitié avec Georges Perros.
Georges Perros (1923-1978) était un solitaire couvert d’amis. Un misanthrope fraternel, en quelque sorte. Depuis sa tanière de Douarnenez enfumée par la bouffarde, tapissée des fientes de son coq et battue par le vent, il correspondait jour et nuit avec eux. On mesure aujourd’hui combien toutes ses lettres, adressées à Jean Grenier, Jean Paulhan, Brice Parain, Michel Butor, Jean Roudaut, sans compter certaines inédites (avec Gérard et Anne Philipe, par exemple), composent la part la plus secrète et la plus vivante de son oeuvre de moraliste.
Pour tardive qu’elle fût, l’amitié de Lorand Gaspar a sans doute été, pour l’auteur des « Papiers collés », l’une des plus solaires. Quand, en 1966, pour lui signifier simplement le plaisir qu’il éprouve à le lire dans « la NRF », il adresse sa première lettre à Perros, Gaspar n’a encore publié aucun recueil de poèmes. Il est chirurgien à l’hôpital de Jérusalem, enfermé dans « un monastère opératoire où les gestes se précisent entre l’acier et la chair »." La suite sur nouvelobs.com
Correspondance Georges Perros-Lorand Gaspar, la Part commune (02-23-40-03-12), 176 p.,
Patmos, par Lorand Gaspar, Gallimard, 206 p.
Georges Perros (1923-1978) était un solitaire couvert d’amis. Un misanthrope fraternel, en quelque sorte. Depuis sa tanière de Douarnenez enfumée par la bouffarde, tapissée des fientes de son coq et battue par le vent, il correspondait jour et nuit avec eux. On mesure aujourd’hui combien toutes ses lettres, adressées à Jean Grenier, Jean Paulhan, Brice Parain, Michel Butor, Jean Roudaut, sans compter certaines inédites (avec Gérard et Anne Philipe, par exemple), composent la part la plus secrète et la plus vivante de son oeuvre de moraliste.
Pour tardive qu’elle fût, l’amitié de Lorand Gaspar a sans doute été, pour l’auteur des « Papiers collés », l’une des plus solaires. Quand, en 1966, pour lui signifier simplement le plaisir qu’il éprouve à le lire dans « la NRF », il adresse sa première lettre à Perros, Gaspar n’a encore publié aucun recueil de poèmes. Il est chirurgien à l’hôpital de Jérusalem, enfermé dans « un monastère opératoire où les gestes se précisent entre l’acier et la chair »." La suite sur nouvelobs.com
Correspondance Georges Perros-Lorand Gaspar, la Part commune (02-23-40-03-12), 176 p.,
Patmos, par Lorand Gaspar, Gallimard, 206 p.
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Poésie
Hongrie: l’opposition reprend pied à Budapest et dans les grandes villes du pays
"La gauche et ses alliés ont mis fin dimanche à 9 ans de règne sans
partage du parti de Viktor Orbán sur les municipalités du pays.
L’opposition s’est même offert une victoire historique à Budapest.
En Hongrie, tous les scrutins depuis 2010 ont invariablement produit les mêmes cartes électorales, présentant un pays entièrement recouvert de orange, la couleur du Fidesz du dirigeant national-conservateur Viktor Orbán. Ce dimanche, les élections municipales ont vu l’opposition progressiste triompher dans de nombreuses grandes villes, et surtout s’emparer de la capitale Budapest." La suite sur lesoir.be (article payant)
En Hongrie, tous les scrutins depuis 2010 ont invariablement produit les mêmes cartes électorales, présentant un pays entièrement recouvert de orange, la couleur du Fidesz du dirigeant national-conservateur Viktor Orbán. Ce dimanche, les élections municipales ont vu l’opposition progressiste triompher dans de nombreuses grandes villes, et surtout s’emparer de la capitale Budapest." La suite sur lesoir.be (article payant)
Le nouveau maire de Budapest veut être un "partenaire" de ses adversaires
"Il doit prendre ses fonctions ce jeudi. Gergely Karátcsony, le maire
fraîchement élu de Budapest a tenu une conférence de presse mercredi. Ce
sociologue de 44 ans s'est dit prêt à établir un partenariat avec le
gouvernement, lui dont la victoire représente le premier succès
significatif de l'opposition hongroise et le premier revers électoral de
Viktor Orban depuis une décennie.
"Le Premier ministre a dit le soir de l'élection qu'il était aussi prêt à coopérer. Je pourrais mentionner mille raisons pour lesquelles cela n'a pas pu se produire, mais de l'autre côté, il y a une chose : c'est l'intérêt de Budapest," a-t-il déclaré." La suite sur euronews.com
"Le Premier ministre a dit le soir de l'élection qu'il était aussi prêt à coopérer. Je pourrais mentionner mille raisons pour lesquelles cela n'a pas pu se produire, mais de l'autre côté, il y a une chose : c'est l'intérêt de Budapest," a-t-il déclaré." La suite sur euronews.com
Un ancien champion olympique et maire quitte le parti au pouvoir en Hongrie
"BUDAPEST (Reuters) – Un ancien champion olympique qui vient d'être réélu
maire d'une ville hongroise a démissionné mardi du parti au pouvoir, le
Fidesz, pour limiter les retombées politiques d'une vidéo le montrant
en train de coucher avec une jeune femme sur un yacht.
Fidesz, dirigé par le Premier ministre Viktor Orban, se présente comme un défenseur des valeurs chrétiennes et familiales, et Orban a critiqué le libéralisme dans la société occidentale.
Zsolt Borkai, qui a remporté une médaille d'or en gymnastique aux Jeux olympiques de Séoul en 1988 et est marié et père de deux enfants, s'est excusé pour ces actions qu'il a qualifiées d '"erreur".
Mais il a indiqué qu'il resterait maire de Gyor, au nord de la Hongrie, en tant qu'indépendant, après sa réélection dimanche, malgré le scandale." La suite sur news-24.fr
Fidesz, dirigé par le Premier ministre Viktor Orban, se présente comme un défenseur des valeurs chrétiennes et familiales, et Orban a critiqué le libéralisme dans la société occidentale.
Zsolt Borkai, qui a remporté une médaille d'or en gymnastique aux Jeux olympiques de Séoul en 1988 et est marié et père de deux enfants, s'est excusé pour ces actions qu'il a qualifiées d '"erreur".
Mais il a indiqué qu'il resterait maire de Gyor, au nord de la Hongrie, en tant qu'indépendant, après sa réélection dimanche, malgré le scandale." La suite sur news-24.fr
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