"Le chef hongrois a restauré la scène finale de l’opéra de Monteverdi,
que le Grand Théâtre accueille pour deux soirs. Tour d’horizon d’un
projet singulier.
Il est très clair, Ivan Fischer. «Quand la mise en scène et la
direction musicale suivent des voies différentes, alors l’opéra n’a plus
de sens.» Cette conception artistique personnelle, elle, a du sens.
Pour peu que le Deus ex machina d’un tel projet «total», à la Wagner, ait suffisamment de talent dans les différentes disciplines en jeu.
Pour le chef hongrois, même s’il n’est pas le concepteur du livret et de la musique d’Orfeo
de Monteverdi, comme le grand Richard l’était pour ses créations
lyriques, l’évidence s’impose. «L’opéra réunit plusieurs arts dans un
seul geste. C’est une entité. Cette unité est essentielle. Réaliser la
mise en scène tout en dirigeant un ouvrage s’inscrit pour moi dans une
dynamique organique.»" La suite sur letemps.ch
vendredi 25 octobre 2019
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