"Pologne, Hongrie, République tchèque,
Slovaquie : dans cet hinterland de Volkswagen, là où le constructeur a
construit une grande partie de sa productivité grâce à ses implantations
low cost, c'est l'inquiétude, révèle le « Financial Times ». Dans tous
ces pays, « ce sont des millions de salariés du secteur automobile qui se sentent aujourd'hui menacés » si, d'aventure, le scandale des moteurs truqués prend encore davantage d'ampleur, écrit le quotidien britannique." La suite sur lesechos.fr
jeudi 15 octobre 2015
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