"A l’occasion de ses deux concerts le 9 et 18 décembre des deux livres du « Clavier bien tempéré » de Jean-Sébastien Bach, Andras Schiff était l’invité de Laure Mézan ce lundi 29 novembre dans le Journal du Classique.
Andras Schiff jouera un cycle de Bach dans deux salles différentes :
au théâtre des Champs-Elysées tout d’abord, puis à la Philharmonie de
Paris. Le pianiste hongrois est venu se confier au sujet de son amour
pour le compositeur allemand. « Bach est pour moi comme un dieu, mon dieu est Bach », même
s’il n’est pas particulièrement religieux, c’est en ces termes qu’
Andras Schiff qualifie le compositeur de musique baroque. Le célèbre
pianiste trouve une certaine spiritualité lorsqu’il interprète des
morceaux de Jean-Sébastien Bach au clavier et considère que ce n’est pas une musique pour « les athéistes ».
Aujourd’hui le message de Bach serait important puisqu’il transmettrait
à la fois un message humain et un message spirituel. Ces deux
spécificités permettraient de faire aimer la musique du compositeur à
une jeunesse pourtant peu encline à écouter de la musique classique : « Bach est une exception et je pense que c’est parce qu’il possède des qualités spirituelles et humaines uniques »." La suite sur radioclassique.fr
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