"En fonctions depuis 2010, lorsque son pays traversait une violente crise
financière, le premier ministre ultraconservateur mène depuis une
politique économique peu orthodoxe, et concentre les pouvoirs.
Mai 2010. Lorsque Viktor Orban devient premier ministre de Hongrie, à la suite de la victoire de son parti, le Fidesz, aux élections législatives d’avril, le pays se trouve au bord de l’asphyxie. Les prix s’envolent, la monnaie – le forint – s’effondre, l’économie a plongé de 6,8 % l’année précédente, déclenchant l’envolée du chômage, et le Fonds monétaire international (FMI) est appelé à l’aide…
En 2004, au moment de son entrée dans l’Union européenne, les économistes vantaient pourtant la force du « miracle hongrois ». Après la chute du bloc soviétique, Budapest a privatisé à tout-va son tissu économique et ses retraites, ouvert ses banques aux capitaux extérieurs et multiplié les mesures pour attirer les investissements directs étrangers, qui ont représenté jusqu’à… 51,8 % du produit intérieur brut (PIB), en 2007. Un record mondial." La suite sur lemonde.fr (article payant)
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