"La flambée des factures d'énergie oblige certaines villes à fermer leurs installations pour l'hiver. Le gouvernement en rejette la faute sur l'Union européenne.
Ils sont flambant neufs et symbolisent l'amour de Viktor Orban pour le football. Construits sous l'égide du premier ministre hongrois, des stades doivent désormais éteindre leurs lumières face à l'envolée des prix de l'électricité. Et ils ne sont pas les seuls. Théâtres, bibliothèques, piscines ou célèbres bains thermaux: la liste s'allonge chaque jour des lieux qui baissent le rideau dans ce pays d'Europe centrale, frappé de plein fouet par l'inflation et la crise énergétique. Une situation sans précédent, qui touche surtout la province et qui est accueillie pour l'instant avec résignation par les Hongrois.
Dans la ville de Szekesfehervar, à 60 km de Budapest,
le club de foot, qui évolue en première division, n'a plus accès à son
stade. Érigé en 2018, il peut accueillir 14.000 spectateurs et fait
d'ordinaire la fierté de la commune. «Il n'y a pas de tabou», dit à l'AFP le maire Andras Cser-Palkovics, membre du parti au pouvoir Fidesz." La suite sur lefigaro.fr
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