"Le président du Conseil européen Charles Michel s'est rendu lundi 27 novembre à Budapest pour tenter d’amadouer Viktor Orban. Le premier ministre hongrois menace de bloquer des discussions-clé sur l’Ukraine. Coup de poker ou coup d'envoi de la bataille des Européennes de juin 2024 ?
Alors qu'il a terriblement besoin de l'argent de Bruxelles, Viktor Orban continue à jouer les trouble-fête. Les rues et les boites aux lettres des Hongrois en témoignent. D’immenses affiches violemment anti-Union européenne sont placardées partout, avec la photo d’Ursula Von der Leyen, la présidente de la commission de Bruxelles, regard sombre aux côtés d’Alexander Soros, l’héritier de George Soros, mécène américain d’origine hongroise devenu bête noire d’Orban.
Un
slogan : « ne jouons pas leur partition »... et une furieuse impression
de déjà vu. A l'automne 2019, quelques mois avant la dernière élection
européenne, les mêmes affiches avaient fleuri dans le pays, avec le
patron de la Commission de l’époque Jean-Claude Juncker, présenté en
marionnette de George Soros." La suite sur radiofrance.fr
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