"Les images de la cameraman donnant des coups de pied à des migrants ont fait le tour du monde, faisant passer les journalistes hongrois pour les complices du régime populiste de Viktor Orbán. A Budapest, la situation n’est pourtant pas si simple.
Caméra au poing, en jean et chemise bleu ciel, ses cheveux blonds
détachés, Petra László filme, le 8 septembre dernier, les réfugiés
syriens traversant la frontière serbo-hongroise au point de passage de
Röszke. Un jour comme les précédents. Cela fait un peu moins d’une
semaine que la journaliste couvre ce qu’on a pris l’habitude d’appeler
"la crise des migrants" dans le pays. Ce sont pourtant ses dernières
heures sur place. Alors que les familles courent à travers champs,
tentant de fuir les policiers qui ont pour mission de les placer dans un
camp de transit, Petra László se métamorphose en auxiliaire de police
bénévole." La suite sur nouvelobs.com
samedi 10 octobre 2015
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