"Ce dimanche 8 avril,
les électeurs hongrois se rendront aux urnes pour élire les 199 députés
de leur Assemblée nationale et ainsi désigner leur premier ministre. Le
sortant, Viktor Orbán, héraut revendiqué de la « démocratie non-libérale »,
électrise aussi bien le débat politique intérieur que la scène
politique européenne. À l’instar de Vladimir Poutine, sa renommée à
l’extérieur est inversement proportionnelle à sa popularité à
l’intérieur.
Pour comprendre les enjeux structurels de ces législatives dans un
État charnière dans l’Union, il convient de prendre en compte mais
également de dépasser les déclarations fracassantes du leader hongrois :
en se posant en protecteur de la souveraineté nationale face aux quotas
de migrants imposés par Bruxelles, en se faisant (jusqu’à il y a peu)
l’avocat de la levée des sanctions et de l’amélioration des relations
avec la Russie, ou encore en se donnant le rôle de défenseur de
l’identité chrétienne de l’Europe dans un pays largement sécularisé,
Viktor Orbán brouille l’image du pays sur la scène européenne." La suite sur theconversation.com
samedi 7 avril 2018
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