16h30. Une nouvelle chronique de Mauvaises Ondes, rubrique présentée à Tilos Rádió un samedi sur deux, commence.
Après avoir fait le point sur l’actualité
française concernant principalement les Gilets Jaunes, à nouveau
mobilisés le samedi 4 mai pour le XXVe acte, et les manifestations
plutôt mouvementées ayant eu lieu le 1er mai à Paris, s'enchaînent,
entre deux chansons au parfum exotique de l’artiste réunionnaise Maya
Kamaty, les chroniques scientifiques et musicales.
Mais c’est la lecture de la politique étrangère
menée par le gouvernement de Viktor Orbán faite par le journaliste
hongrois et ancien correspondant à Paris pour le Népszabadság András
Dési, qui se trouve au cœur de la chronique de ce samedi 4 mai.
“Paris c’est mon Berlin et Berlin c’est mon
Paris” : c’est ainsi que András Dési nous résume en bref sa carrière de
correspondant à l’étranger en Allemagne et en France.
Ensuite, Guillaume Carré, chroniqueur à la radio
Tilos Rádió, entame le débat par la question suivante : peut-on parler
d’une politique étrangère de Viktor Orbán plutôt que d’une politique
étrangère de la Hongrie ? L’invité spécial semble pencher pour une
réponse affirmative." La suite sur jfb.hu
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