Salgótarján
a des airs post-apocalyptiques. Des barres d’immeubles grisâtres
construites dans les années 70 défigurent un centre-ville figé dans le
temps. La dépression transpire des structures devenues apparentes de
certains immeubles et des maisons aux toits éventrés. Un étrange silence
y règne : celui des usines fantomatiques de la périphérie. La chute du
pouvoir communiste en 1989 n’a laissé aucune chance à cette commune du
nord-est de la Hongrie, région oubliée du capitalisme mondialisé." La suite sur yahoo.com
dimanche 8 avril 2018
A Salgótarján, «seuls les retraités et les non diplômés sont restés»
"Dans le nord d'une Hongrie acquise au parti de Viktor Orbán, la ville socialiste tente de jongler entre la baisse de sa population et la hausse de son chômage. Les habitants attendent sans grand espoir les élections législatives.
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