"Toute sa vie, elle ne cessa de chercher, d’innover, passant de la céramique à la sculpture du bois, au tissage, aux monumentales installations textiles. Un livre permet de redécouvrir le travail de Vera Székely, et ce n’est que justice.
Et voilà. Vera Székely a droit à sa monographie. L’artiste la méritait
d’autant plus qu’elle demeura longtemps éclipsée par son mari, le
sculpteur Pierre Székely, puis par la notoriété de son fils, Martin,
designer. Certes, Vera Székely est prisée des amateurs de céramique qui
traquent avec ferveur ses modèles rarissimes. « Il s’agit de pièces uniques, artisanales, et leur production fut limitée dans le temps », souligne le galeriste Thomas Fritsch qui lui dédie une exposition cet automne. « Cinq ans furent nécessaires pour réunir cinquante pièces dont une trentaine sont prêtées et, donc, pas à vendre. » Cependant,
la céramique n’est qu’une facette de l’œuvre de Vera Székely. L’étude
qui paraît, fruit d’inlassables recherches, le démontre, elle n’a cessé
d’être en mouvement. Vera, hongroise, née Harsányi, fut même championne
de natation!" La suite sur admagazine.fr
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