"Ce lundi 30 mars, le Parlement hongrois a adopté un projet de loi
accordant à Viktor Orbán les pleins pouvoirs. Une dérive autoritaire,
accuse l’opposition, mais dans le journal progouvernemental Magyar Nemzet,
un spécialiste des questions de sécurité estime que seuls les
États-nations forts peuvent affronter cette crise due au Covid-19.
Nous expérimentons actuellement l’amère réalité du village global.
Jusqu’ici, les partisans de la mondialisation la considéraient comme le
plus important et efficace outil de développement. Revers de la
médaille : le coronavirus s’est propagé en quelques mois sur l’ensemble
de la planète. Les Bourses tremblent, les grandes fortunes craignent la
récession, les populations paniquent.
Bien que nous ne
connaissions pas encore l’origine exacte de son éclosion, cette épidémie
est d’ores et déjà riche d’enseignements. Pendant soixante-dix ans,
l’Europe s’est habituée à une paix et à un bien-être qui lui semblaient
acquis. Les événements de ces cinq dernières années ne l’ont pas fait
sortir de sa zone de confort alors que l’arrivée de millions de migrants
illégaux et l’essor du terrorisme islamiste ont sérieusement mis en
péril notre sécurité." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
mardi 31 mars 2020
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