"Autrefois libérale et frondeuse, pétillante de vie, de culture et
d’impertinence, Novi Sad s’est endormie au point de devenir un bastion
nationaliste. Chantre de sa ville, l’écrivain de langue hongroise László
Végel interroge sa relation jamais assumée au passé, abandonné comme un
cadavre puant au bord de la route...
Entretien . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
samedi 21 mars 2020
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