"Alors qu’il contemple, impassible, la demeure de son ancienne maîtresse,
dont on ne voit plus qu’un monticule de souches bleuâtres carbonisées,
une homme qui ne se présentera jamais sous son vrai nom se lance dans
une description émue des « superbes amoncellements vaporeux, couronnés
de tours à leurs sommets, qui finissent par se perdre dans les voiles
mauves de la nuit tombante. Leur vue m’attristait un peu, elle me
rappelait la fuite du temps . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Voir aussi Le blog des Mardis hongrois de Paris
samedi 28 mars 2020
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.