"Politiquement, s’entend. La question mérite d’être posée alors que le système de soins s’apprête à vivre un stress test grandeur nature avec l’épidémie attendue de coronavirus, car le talon d’Achille de la gouvernance du Fidesz est justement son absence de politique en matière de santé publique.
Éditorial – Viktor Orbán a sans doute compris le
péril politique que représente pour lui l’épidémie de coronavirus que le
pays – pour l’instant relativement épargné – s’attend à essuyer dans
les semaines qui viennent. Cela explique sans doute pourquoi, depuis la
semaine dernière, il est monté au front dans les médias et se met en
scène personnellement, lui et sa cellule de crise dédiée à la lutte
contre l’épidémie." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
jeudi 12 mars 2020
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