"La loi homophobe adoptée par le Parlement hongrois a bousculé l’agenda du sommet européen ouvert jeudi à Bruxelles. Dix-sept dirigeants exhortent la Commission à une réponse à la hauteur de la gravité des faits. Trois pistes sont sur la table.
Depuis l’arrivée de Viktor Orbán à la tête du gouvernement hongrois en 2010, la question n’a cessé de se poser aux diplomates, dirigeants et élus européens : comment faire respecter aux États membres devenus des régimes autoritaires les valeurs comme l’État de droit, la dignité humaine ou l’égalité inscrites à l’article 2 des traités de l’Union européenne ?
L’adoption, le 15 juin par le Parlement hongrois, d’un
texte qui vise en théorie à renforcer les droits des enfants, mais qui
contient des amendements associant homosexualité et pédophilie, a
relancé ce débat de manière spectaculaire. La présidente de la
Commission, Ursula von der Leyen, a parlé d’une « honte » mercredi. Une « loi arriérée et discriminatoire », s’est emporté le chef du gouvernement belge, le libéral Alexander De Croo." La suite sur mediapart.fr
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