"CRITIQUE - La Hongroise Ildiko Enyedi adapte avec souffle le roman de son compatriote Milan Füst. Léa Seydoux et Gijs Naber sont parfaits en couple qui se désire puis se déchire.
On parie? Jakob épousera la première femme à
entrer dans ce café. Son copain hausse les épaules. Son scepticisme ne
durera pas: après une fausse alerte, Léa Seydoux
pousse la porte. Le capitaine de navire lui demande sa main. Elle est
d’accord. Telles étaient les rencontres, dans les pays nordiques, au
cours des années 1920. Lizzy, c’est quelque chose. Cette Française
pourrait sortir d’un roman de Fitzgerald, avec son sourire en
Technicolor, sa chevelure auburn, et l’air de celle qui en a vu
d’autres. Banco. L’avenir ne lui fait pas peur. Il faut la voir danser
le fox-trot - un tourbillon de sensualité. Jakob en reste bouche bée. Il
n’est pas au bout de ses surprises." La suite sur lefigaro.fr
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