mardi 15 mars 2022

Notre critique de L’Histoire de ma femme: le déshonneur d’un capitaine


"CRITIQUE - La Hongroise Ildiko Enyedi adapte avec souffle le roman de son compatriote Milan Füst. Léa Seydoux et Gijs Naber sont parfaits en couple qui se désire puis se déchire.

On parie? Jakob épousera la première femme à entrer dans ce café. Son copain hausse les épaules. Son scepticisme ne durera pas: après une fausse alerte, Léa Seydoux pousse la porte. Le capitaine de navire lui demande sa main. Elle est d’accord. Telles étaient les rencontres, dans les pays nordiques, au cours des années 1920. Lizzy, c’est quelque chose. Cette Française pourrait sortir d’un roman de Fitzgerald, avec son sourire en Technicolor, sa chevelure auburn, et l’air de celle qui en a vu d’autres. Banco. L’avenir ne lui fait pas peur. Il faut la voir danser le fox-trot - un tourbillon de sensualité. Jakob en reste bouche bée. Il n’est pas au bout de ses surprises." La suite sur lefigaro.fr

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