"La Hongrie a torpillé l'accord européen sur un impôt minimum pour les multinationales, déclinaison du projet signé par plus de 130 pays sous l'égide de l'OCDE. Plusieurs Etats membres, dont la France et l'Allemagne, cherchent une solution alternative. Parmi les pistes, une « coopération renforcée » entre capitales volontaires ou une adoption pays par pays.
Le ministre de l'Economie français y a cru jusqu'au bout. Il comptait bien, avant le 30 juin, date de la fin de la présidence française de l'UE, convaincre la Hongrie de lever son veto sur la directive déclinant l'impôt minimum des multinationales élaboré l'an dernier sous l'égide de l'OCDE. Il est maintenant clair que ce ne sera pas le cas - la Hongrie instrumentalise ce dossier pour obtenir le feu vert à son plan de relance, toujours bloqué par Bruxelles sur des questions d'Etat de droit.
Mais Bruno Le Maire, qui avait passé des mois à convaincre la Pologne, n'a pas dit son dernier mot. Il considère possible une « solution alternative ». Le locataire de Bercy a fait savoir, dans une interview aux « Echos » , que la France allait étudier d'autres options avec le commissaire européen à l'Economie, Paolo Gentiloni." La suite sur lesechos.fr
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