"Les artistes russes ont-ils leur place sur les scènes européennes ? C’est la question que se posent de nombreux festivals, qui retrouvent cette année leur forme originale après deux ans de pandémie… Alors que de nombreux organisateurs ont décidé de revoir leur programmation, le Sziget en Hongrie s’est lancé dans un jeu d’équilibriste plutôt délicat, en accueillant à la fois des artistes ukrainiens... et russes.
Une décision totalement assumée par le directeur du festival Tamás Kádár: "Notre
point de vue est qu'il n'est ni élégant ni sensé de déclarer un embargo
sur la culture. J'aime utiliser l'analogie selon laquelle nous devrions
maintenant interdire les livres de Lioudmila Oulitskaïa simplement
parce qu'elle est russe ? Alors qu'il n'y a guère plus d'écrivains
russes contestataires qu'elle à mon avis."La suite sur euronews.com
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