"Depuis le départ de Viktor Orbán et ses députés du Parti populaire européen le 3 mars, le Premier ministre hongrois et ses homologues polonais et italien rêvent d’un rassemblement des droites. Mais les différentes positions des partis sur la Russie et l’Union européenne annihilent toute alliance.
Un grand groupe politique réunissant l’ensemble des droites radicales et des extrêmes droites eurosceptiques actuellement éparpillées façon puzzle au Parlement européen, Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, en rêve. On le comprend : sur le papier, ces forces politiques pourraient devenir le deuxième groupe du Parlement devant l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates (S&D) et juste derrière les conservateurs du Parti populaire européen (PPE). Un tremblement de terre pour une Union qui s’est construite sur le rejet du nationalisme. Mais, et c’est un énorme mais, les désaccords idéologiques sont tels que cela risque de rester un rêve, au moins pour quelque temps.
Les
grandes manœuvres ont débuté lorsque le Fidesz de Viktor Orbán et ses
douze députés européens ont claqué la porte du groupe PPE le 3 mars
plutôt que d’attendre d’en être suspendu, après l’avoir été lui-même du
parti un an plus tôt. Le 1er avril, le Premier ministre hongrois a
invité à Budapest son homologue..." La suite sur liberation.fr (article payant)
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