"Deux chefs qu’on attendait beaucoup dans Brahms, Herbert Blomstedt et Ivan Fischer, déçoivent à divers titres dans leurs récents enregistrements. La Troisième clôt le cycle symphonique du chef hongrois, étalé sur de nombreuses années. En gros, au sens propre, elle n’a ni queue ni tête. Si vous commencez par le fameux 3e mouvement, vous entendriez une pulsation naturelle et des imbrications subtiles des phrases, avec de doux portamentos austro-hongrois. En reculant d’une plage, un Andante vraiment logique dans sa pulsation. Mais celui-ci est précédé d’un fade premier volet sans carrure, et la conclusion de l’œuvre est apportée par un Finale sans plus d’arêtes, fuyant et précipité." La suite sur ledevoir.com
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