"En adaptant l’histoire d’un marin qui pour un jeu épouse la première femme qui passe, Ildikó Enyedi nous plonge dans trois heures de crises conjugales enrobées d’académisme inerte.
Drôle de pedigree cannois que celui d’Ildikó Enyedi. Signature parmi les
moins identifiées à concourir cette année pour la palme, elle débarque
pourtant en compète auréolée d’une antériorité de revenante que nul
n’attendait plus : son tout premier film, Mon XXe siècle, avait
ravi la caméra d’or en 1989. Depuis, la carrière de la cinéaste
hongroise, 65 ans, a connu d’énormes éclipses, n’accouchant que d’une
poignée de longs métrages, et même aucun entre 1999 et 2017, quand elle
resurgit et remporte l’ours d’or de la Berlinale avec l’insipide Corps et âme." La suite sur liberation.fr (article payant)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.