"Les communautés LGBT et la société civile hongroise et polonaise se sont elles réjouies de la décision Bruxelloise.
Ce jeudi, en Hongrie, le point d’information gouvernemental a été particulièrement à charge contre Bruxelles. Gergely Gulyas, ministre en charge de la Chancellerie de Viktor Orban a jugé que l’enveloppe hongroise du fond de relance tardait à être validée «pour des raisons politiques», avant que le «scandale médiatique» (autour d’une loi contre la pédophilie incluant un volet anti-LGBT) n’éclate.
Le ministre a également critiqué l’un des
motifs de cette procédure d’infraction, à savoir une amende de 700 euros
infligée à l’encontre d’un éditeur d’un conte pour enfants. Avant même
que la loi en question n’entre en vigueur, l’éditeur devrait payer pour
n’avoir pas précisé que le livre, évoquant une famille homoparentale,
comportait «un contenu sur des orientations sexuelles alternatives». De quoi constituer selon Bruxelles une pratique commerciale déloyale, violant de surcroît le droit à la libre expression." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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