"Vaccinés au Sinopharm, à l’efficacité douteuse, de nombreux Hongrois se rendent en Roumanie pour une injection de Pfizer. Sous pression, le Premier ministre Viktor Orbán a ouvert la voie à une troisième dose.
Quand son médecin généraliste lui a proposé fin février le vaccin anti-Covid Sinopharm fabriqué en Chine, Péter Boros n’était guère enthousiaste. «Je voulais un vaccin approuvé par l’Europe», confie ce svelte septuagénaire aux yeux bleus, ancien informaticien. A l’époque, Viktor Orbán ne cesse de vanter les sérums de l’Est, le Spoutnik V russe et surtout le Sinopharm, dont les 550 000 premières doses ont atterri en fanfare le 16 février à l’aéroport de Budapest.
Quelques jours plus tard, le Premier ministre se fait lui-même injecter une première dose avant de déclarer, face à la caméra : «Faites comme moi : des milliers de Hongrois ont déjà reçu le vaccin chinois!»… " La suite sur liberation.fr (article payant)
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