"Le logiciel d'espionnage Pegasus devait servir pour lutter contre la criminalité. Mais au final ce sont des personnalités comme le président français, des journalistes ou des militants qui sont devenus, selon les accusations, la cible de cet outil proposé par l'entreprise israélienne NSO Group.
Pour les responsables européens et les institutions de
l'UE, le scandale révélé au mois de juillet est un signal d'alarme.
Selon l’eurodéputé Gwendoline Delbos-Corfield il faut faire toute la
lumière sur cette affaire. Il faudra "mettre ensuite les
gouvernements face à leurs responsabilités, ceux qui ont eu recours à ce
logiciel comme le gouvernement hongrois qui serait le seul Etat membre à
l'avoir employé mais aussi les autres pays membres qui n'ont pas réagi
et qui n'ont pas dit clairement qu'ils étaient opposés", insiste la parlementaire écologiste." La suite sur euronews.com
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