"ANALYSE - Le pape François a concédé sept heures à la Hongrie, lui refusant le statut de visite officielle qu’il a pourtant accordé à la Slovaquie.
Coup de maître ou coup d’épée dans l’eau? Le voyage du pape François en Hongrie et Slovaquie se termine ce mercredi. Il laissera un souvenir étrange dans la longue série des 171 voyages pontificaux internationaux depuis Paul VI. Jamais de mémoire vaticane une telle inégalité de traitement entre deux pays n’avait été observée: François a concédé sept heures à la Hongrie, lui refusant le statut de visite officielle qu’il a pourtant accordé à la Slovaquie pour ses soixante-douze heures de présence.
Que signifie ce
geste? Il tient d’un fait objectif, vérifié à présent: ce pape déteste
les politiques nationalistes de droite. Celle de Viktor Orban, premier ministre hongrois,
en particulier. Quand le pape visita Cuba en septembre 2015, c’est avec
grande déférence qu’il s’adressa à Fidel Castro pourtant persécuteur
patenté des droits de l’homme et de l’Église. François se rendit même
personnellement au domicile de Castro! Même yeux doux actuels pour la
Chine. Ce pape jésuite rêve de s’y rendre." La suite sur lefigaro.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.