«Etre reçue par un chef de gouvernement en exercice donne un signe de respectabilité» à la candidate du Rassemblement national (RN), explique à l’AFP le politologue Jean-Yves Camus.
Ce déplacement à l’étranger vise, pour Marine Le Pen, à tenter de reprendre du terrain sur le polémiste Zemmour, qui la talonne dans les sondages bien que toujours pas déclaré.
Elle aura droit à une conférence de presse
commune avec le dirigeant hongrois, quand son rival -et candidat non
déclaré – s’était contenté d’un entretien privé le 24 septembre à
Budapest, en marge d’une réunion de la droite conservatrice et
identitaire, tout comme sa nièce Marion Maréchal." La suite sur lavenir.net
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