"Le chef d'Etat sait qu'il ne peut pas se passer du Premier ministre hongrois s'il souhaite éviter tout psychodrame pendant la présidence française du Conseil de l'UE.
Il s'est gardé l'étape la moins réjouissante pour la fin : c'est à Budapest, ce lundi, qu'Emmanuel Macron met un terme à la tournée des 26 capitales européennes lancée au début de son mandat. Et pour cause : le Premier ministre hongrois Viktor Orban "est un adversaire politique", a rappelé, jeudi dernier, l'hôte de l'Élysée, lors de la présentation des priorités de la présidence française de l'Union européenne (PFUE).
Leurs convictions européennes les opposent en effet de façon
catégorique. D'un côté un europhile, partisan d'une plus grande
intégration communautaire ; de l'autre un eurosceptique aux accents
populistes, qui n'a jamais de mots assez durs contre Bruxelles et n'a
pas hésité à recevoir les deux candidats d'extrême droite de la
présidentielle française d'avril prochain, Marine Le Pen et Eric
Zemmour." La suite sur lexpress.fr
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