"La feuille de route de la coalition qui prendra les rênes ce mercredi en Allemagne confirme les inquiétudes du gouvernement hongrois.
Lors d'un entretien avec Politico en marge de sa visite à
Bruxelles le 10 novembre dernier, à la question de savoir si Angela
Merkel aurait dû traiter plus durement Orban, Peter Marki-Zay, le chef
de l'opposition, n'a pas hésité une seconde : "Oui". Et d'ajouter les trois raisons expliquant, selon lui, cette mansuétude de Berlin : "Audi, Mercedes, BMW", soit trois groupes qui profitent des largesses..." La suite sur lalibre.be (article payant)
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