"Elle est l'une des dernières voix, l'un des derniers grands témoins de la Shoah: dans "Le Pain perdu", qui sort en France vendredi, Edith Bruck, écrivaine italienne d'origine hongroise, conte et raconte la déportation puis la libération - qui est aussi un enfermement.
"Les enfants de survivants ne peuvent pas raconter. Nous sommes les derniers et nous sommes peu nombreux", dit-elle en recevant l'AFP dans son appartement romain à la veille de Noël.
Edith Bruck a publié une trentaine d'ouvrages en six
décennies d'écriture, mais "Le pain perdu", publié aux Editions du
sous-sol, lui a valu, à 90 ans, une aussi soudaine que tardive notoriété
en Italie. Le livre a remporté le prix Strega Giovani, équivalent du
Goncourt des lycéens, le prix Viareggio, et s'est écoulé à quelque
100.000 exemplaires." La suite sur tv5monde.com
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