Par Pierre Waline
"Pour le marathon qui se tient chaque début d´année au Palais des Arts de
Budapest, ses organisateurs ont choisi de célébrer cette année Richard
Strauss. Pour mémoire, il s´agit d´une manifestation qui se tient depuis
2008 en chaque début d´année sur une journée de concerts non-stop
dédiée à un compositeur (ou couple de compositeurs) donné, montée en
commun par Iván Fischer et son orchestre et les animateurs du Palais des
Arts. Richard Strauss… A vrai dire, un compositeur que j´avoue mal
connaître, mis à part ses grands poèmes symphoniques et deux de ses
opéras (Salomé, Le Chevalier à la rose). Et encore… Mal connaître et
juger un peu sévèrement. Ce qui est probablement injuste, d´aucuns le
considérant comme le maître incontesté du maniement de l´orchestre. Deux
exceptions, toutefois: ses merveilleux Quatre derniers lieders et son
truculent Till Eulenspiegel (et aussi la Danse des sept voiles de Salomé
et quelques passages du Chevalier à la Rose). Une occasion, donc, de
mieux le connaître et - qui sait ? - de réviser éventuellement mon
jugement. Pour le servir, les cinq formations habituelles: les
orchestres Máv, Győr (sous la baguette d´un jeune de 26 ans!), Pannon,
Concerto Budapest et l´Orchestre du Festival (en concert de clôture,
accompagné par la soprano australienne Eleanor Lyons dans les Quatre
derniers lieders)." La suite sur francianyelv.hu
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