"Wizz Air creuse ses pertes en attendant la reprise au printemps. La compagnie low-cost hongroise reste confiante sur le remplissage de capacités augmentées de 50 % sur la saison d'été par rapport à l'avant-crise.
Le Hongrois est né à cheval, dit-on chez les Magyars, mais c'est sur une carlingue d'avions que József Váradi se sent toujours le mieux. Le patron de Wizz Air en est réduit, à l'instar de ses confrères du voyage, à promettre depuis deux ans des lendemains qui chantent, en pansant les plaies du moment.
Cet optimisme forcé a jusqu'ici plutôt plu à la salle d'attente boursière londonienne. L'expansion éclair de la low-cost en avait déjà fait avant la pandémie l'un des rares chouchous de la City dans l'aérien, un statut conservé pendant la crise sanitaire.
Depuis le début 2020, le titre talonne celui de Ryanair, les deux seuls
dans le vert sur cette période (respectivement de 10 % et 13 % en
euros)." La suite sur lesechos.fr
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