"Le commandant de division lui-même ne leur avait-il pas ordonné, en ces derniers jours de janvier 42 : « Messieurs ! Pas un mot de tout cela ! »
Quatre hommes partagent une cellule de prison, arrêtés pour leur rôle dans un massacre. Sont-ils coupables ? Ce court roman entremêle leurs récits, dans lesquels ils reviennent chacun sur trois jours glacés d’un janvier qui les hantent.
Si j’ai décidé de présenter ce livre maintenant, c’est en partie parce que l’image des trois hommes, liés à leur insu par des éléments antérieurs et emprisonnés dans la même cellule, une image présente en arrière-plan du roman bulgare Les dévastés (que j’ai chroniqué ici) m’a rappelé la configuration de Jours glacés, roman hongrois de Tibor Cseres.
C’est aussi parce que ce roman évoque les trois jours du massacre
d’Ujvidék et de la région environnante, perpétré il y a 80 ans, en
janvier 1942." La suite sur passagealest.wordpress.com
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