"De quoi l'expression cancel culture est-elle le nom ? Selon les contextes, elle est adaptée : quand le gouvernement de Viktor Orbán l'utilise, en Hongrie, c'est pour remettre en question la parole d'une autrice, Krisztina Tóth, vis-à-vis de l'histoire littéraire telle qu'elle a été écrite par la postérité. Le PEN Club français, dans une tribune, défend Tóth, accusée de « censure féministe » et menacée sur les réseaux sociaux. Nous reproduisons ce texte ci-dessous, en intégralité.
L’oppression en Hongrie : Soutien à Krisztina TóthCommuniqué du PEN Club français
En 2012, lors du Congrès annuel du PEN Club international en Slovénie
à Bled, les écrivains hongrois alertaient sur la situation de chasse
aux sorcières idéologiques qui s’envenimait en commençant par
discréditer les anciens opposants à la mainmise communiste sur le pays,
le thème étant que ceux qui s’y étaient opposés s’y étaient intéressés
et donc étaient dans un État d’esprit antinational." La suite sur actualitte.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.