PORTRAIT - Le grand pianiste hongrois reprend le répertoire du maître allemand sur l’instrument méconnu qu’est le clavicorde. Un festival pour les oreilles.
A en écouter certains, sir András Schiff n’aurait pas encore fait la conquête de la France. De fait, le pianiste hongrois, installé à Florence, a souvent été rare par chez nous. Jusqu’à récemment, à Paris, où il a magnifiquement donné les deux livres du Clavier bien tempéré de Bach, puis un récital dont il a le secret sur la belle et intime scène de la Fondation Louis Vuitton, ainsi que les concertos pour clavier de Bach, toujours, avec sa Cappella Andrea Barca à la Philharmonie, où il repassera le 26 février prochain pour un récital Mozart-Schubert. Auparavant, il aura publié sur le label ECM un magnifique recueil d’œuvres de Jean-Sébastien Bach, encore et toujours lui, au clavicorde.
Cet
ancêtre à cordes frappées du piano-forte, lui-même prédécesseur du
piano, et clavier préféré du cantor, est assez inhabituel dans la
discographie de cet adepte des instruments modernes, mais porte bien la
démarche du musicien: «J’aime découvrir tous les instruments d’époque. Je voudrais enregistrer les..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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