Estate Brassaï Succession/Philippe Ribeyrolles
"LE PARISIEN WEEK-END. Dès son arrivée dans la capitale, en 1924, le photographe hongrois en saisit l’élégance et l’effervescence. À l’occasion de la sortie du nouvel album de Reporters sans frontières, hommage à ce maître du noir et blanc.
« C’est pour saisir la nuit de Paris que je suis devenu photographe », a dit Brassaï. Le Hongrois a immortalisé mieux que quiconque le côté obscur de la Ville Lumière. C’est à cet infatigable explorateur du pavé parisien que Reporters sans frontières rend hommage dans son nouvel album, paru en novembre. L’ONG publie des clichés inédits, piochés dans les archives familiales de Gyula Halasz, qui a choisi son pseudonyme en hommage à son village natal de Brasso, dans les Carpates.
L’occasion
d’admirer des tirages rares, signés d’un monstre sacré du noir et
blanc, qui a fixé pour l’éternité le Paris des maisons closes et des
bals musettes. Des folles soirées du Montparnasse des années 1930 et des allumeurs de becs de gaz. Des colonnes Morris et des « forts », ces manutentionnaires qui s’escrimaient aux Halles pendant que le bon peuple dormait encore." La suite sur leparisien.fr
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