"Les réfugiés refluent par dizaines de milliers depuis l’Ukraine attaquée tous azimuts par la Russie. Dans la bourgade frontalière de Beregsurány, en Hongrie, on ne voit plus d’hommes passer, mobilisation générale oblige.
C’est ça le plus dur. D’avoir laissé un mari, un père derrière elles. Dans la nuit froide, une jeune femme qui préfère taire son nom essaie de rassurer sa fille de 4 ans qui pleure. Elles se sont arrêtées boire un thé chaud à l’un de ces barnums de fortune dressés par des habitants du coin, juste après le poste-frontière." La suite sur 24heures.ch (article payant)
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